Dans le cadre des championnats régionaux de boxe amateur Elites, samedi 12 novembre, au sein du gymnase Robert Gossart de Condé-sur-Noireau Calvados, lors du gala de boxe organisé par le club pugilistique de Condé, présidé par Christian Gauquelin, Thomas Lacroix, jeune boxeur originaire de Condé-sur-Noireau, a une nouvelle fois prouvé son envie de gagner. Après plusieurs mois d'absence en raison d'une blessure grave survenue au début de l'année 2016, son retour sur le ring était très attendu par ses supporters, venus nombreux pour l'encourager. Prochaine étape Carentan Thomas Lacroix, catégorie senior -69 kg, double champion de Normandie en titre, s'est distingué en remportant son combat aux points, à la 3e reprise, sous un tonnerre de cri et d'applaudissements, devant son adversaire, Guillaume Becquin du BC Le Tréport Seine-Maritime. C'est dans une ambiance de folie que Thomas Lacroix, porté par son public, a décroché sa place en demi-finale qui se déroulera ce samedi 19 novembre à Carentan Manche. Christian Gauquelin et Alain Robbe, entraîneurs de Thomas, sont satisfaits de retrouver leur champion. "Pour son premier combat de la saison, Thomas a tenu ses promesses devant un adversaire qui boxait très bien. Thomas est bien parti pour garder son titre", ont-ils souligné. Cette soirée exceptionnelle a de nouveau été un véritable succès avec plus de 400 entrées. Papa dans la foulée Et comme un bonheur n'arrive jamais seul, Amélie Foucher, la femme de Thomas, a été transportée cette nuit à la maternité de Flers pour donner naissance à leur premier enfant, un petit garçon. A LIRE AUSSI.
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Pourobtenir les coordonnées téléphoniques d'un(e) Pompes Funebres à Condé-sur-Noireau Service de renseignements téléphoniques 24H/24 7J/7. APPELEZ LE 118 418 et dîtes « TEL » Reminder of your requestDownloading format TextView 1 to 16 on 16Number of pages 16Full noticeTitle L'Ouest-Éclair journal quotidien d'informations, politique, littéraire, commercialPublisher [ RennesPublication date 1937-01-20Contributor Desgrées du Lou, Emmanuel 1867-1933. Directeur de publicationRelationship textType printed serialLanguage frenchFormat Nombre total de vues 135307Description 20 janvier 1937Description 1937/01/20 Numéro 14683.Description Collection numérique Fonds régional BretagneDescription Collection numérique Yroise, bibliothèque numérique de BrestRights Consultable en ligneRights Public domainIdentifier ark/12148/bpt6k6607788Source Bibliothèque nationale de FranceProvenance Bibliothèque nationale de FranceOnline date 18/01/2011The text displayed may contain some errors. The text of this document has been generated automatically by an optical character recognition OCR program. The estimated recognition rate for this document is 100%.On a pose hier à Paris la première pierre du pavillon de la Bretagne à l'Exposition de 1937 M. Gasnier-Duparc, ministre de la Marine, scelle la première pierre. Voir en c Informations régionales DRAME DE LA MER A CANCALE PARTIS EN PECHE DEPUIS TRENTE-SIX HEURES, PAR UN TEMPS EFFROYABLE. DEUX CANOTS A MOTEUR, MONTÉS CHACUN PAR TROIS HOMMES, NE SONT PAS RENTRÉS AU PORT Cascale, 19 janvier. De notre correapondant particulier. Lundi, vers 10 heures du matin, malgré le mauvais temps, cinq des canots à moteur de notre flottille cancalaite, pratiquant, la petite pèche, prenaient' le large. Vers 13* h. 30, le vent, jusqu'alors de la partie du Sud-surolt, montait ïubiteme* à l'Ouest et se mettait à •ouffler en cyclone. Un véritable coup de temps, comme il est rare d'en voir Au port de la Houle, sous Cancale, les familles des intrépides marins partis en mer se montraient justement inquiètes sur leur sort. Entre 15 h. 30 et 16 heures, trois des frêles embarcations avaient réussi. après une lutte titanesque contre les éléments déchaînés, à se réfugier a proximité du port. Malheureusement. on déplorait l'absence de deux autres barques. Il s'agissait de deux canots à moteur Le Fend-i'Onde, construit à Cancale en 1932, jaugeant 1 tonneau 89 brut. muni d'un moteur de 6 chevaux, était monté par le patron Maillard Eugene. né le 7 septembre 1897, et les matelots Leroux Francis, né le 11 septembre 1914 Devran Julien, né le 3 décem bre 1900. La France-Amélie, canot non ponté moteur de 6 chevaux. 1 tonneau 89 de jauge brute, était montée par le patron Couapel François, né le 8 no- vembre 1691 et ses matelots Verdier Jean-Marie, né le 26 juillet 1889. et Lebrun Louis, né le 12 novembre 1912. Depuis hier, malgré toutes les recherches entreprises pour', retrouver trace des canota disparus, d'abord par la grande Jjisquine La France, pui* par quatre canots à moteur de la Houle et le canot de sauvetage de SaintMalo-Saint-Servan, on reste sans aucune nouvelle à l'heure où nous transmettons ces lignes. Après une accalmie, la tempête fait rage à nouveau. Parmi les six vaillants marins disparus et déjà pleurés dans leurs familles, se trouvent quatre pères de femille, MM. Maillard, deux enfants Couapel, trois enfants Davran, un Verdier, un. Ce tragique événement de mer a causé une grosse et légitime émotion dans toute la région. Vaines recherches au large Saiht-Malo, 19 janvier de notre rédaction malouine Le Capitaine-de-Vaisseau-Recoloux et rentré ce soir à son mouillage vers 20 h. 30. Il avait accompli, sous la direction du capitaine Bourges, une vaste randonnée, allant jusqu'à Chausey et aux Minquiers, à la recherche des bateaux de Cancale. A son retour, l'équipage a déclaré n'avoir rien trouvé. M. VINCENT AURIOL PARLERA DEMAIN AU CLUB AMÉRICAIN Paris, 19 janvier. Le Journal des Débats annonce que M. Vincent Auriol, ministre des Finances, a accepté l'invitation qui lui a été faite par M. Théodore Rousseau, président du club. d'être l'hôte du Club Américain, à son déjeuner d'après demain jeudi. On se rappelle que c'est au Club Américain que M. Léon Blum prononça non premier discours politique comme chef du Gouvernement. Les déclarations du ministre des Fifiances sont attendues dans les circonstances actuelles avec un particulier intérêt. SIX DISPARUS RETROUVÉS VIVANTS DANS L'ANTARCTIQUE Lombres, 19 janvier. Un radiogramme émanant du croiseur britannique Ajax a été reçu au Foreign Office, disant que les membres de l'expédition du Discovery Il perdus dans l'Antarctique avaient été retrouvés et ramenés à bord du Discovery. Il s'agit, comme on le sait. de six officiers et marins qui avaient disparu après avoir débarqué à Esther Harbourg, dans l'Ile du Roi George, qui fait partie des Shetlands. L' Ajax avait été accompagné dans ses recherches par plusieurs baleinièfes. LES AFFAIRES D'ESPAGNE Le contre-torpilleur français ci Maillé-Brézé » qui fut bombardé par un avion au large da côte» d'Eipafne, ainsi que nous l'avons relaté hier. .jtVoir en deuxième page. Duplicité de Moscou • Paria; 19 janvier. La note jiar laquelle Moscou répond à Londres, en ce qui concerne les enrôlement» de volontaires pour l'Espagne, est vraiment fadéfendable. Elle déclare que le gouvernement soviétique ne se livre pas à l'envoi de volontaires alors que depuis des mois, le gouvernement de Valence et les autorités de Barcelone ne cessent de proclamer, avec de longues effusions de gratitude, l'aide que leur apporte la 3' Internationale On reconnaît bien, dans ces dénégations moscoutaires, le système du mensonge cynique système plus Imbécile encore que révoltant dont s'inspirent les communistes depuis l'avènement du Front populaire en France. La vérité, c'est que les nombreux soldats et techniciens russes qui se trouvent actuellement en Espagne y sont partis sur l'ordre du Komintern d'accord avec le gouvernement soviétique. Us sont la en service commandé , avec tout leur matériel. Il en est de même des Italiens et des Allemands qui combattent dans les armées Franco, direz-vous. Je le Mais que M. Litvinolf et ses compères ne viennent pas nous raconter qu'ils sont, eux. innocents de tout recrutement, de tout armement. de tout appui militaire aux marxistes espagnols 1' Le gouvernement soviétique est coupable en outre, si nous en croyons les rumeurs les plus autorisées. de la suggestion faite au gouvernement de Valence de naturaliser en massé les étrangers combattant dans les range communoanarchistes. Le procédé est simple autant que déloyal. Il prévient le rapatriement de ces étrangers pour le cas où, d'id un mois, France et Angleterre décideraient de les rappeler sous peine de condamnations sévères. Il permet de recruter sans cesse, au mépris des conventions internationales car il suffira au cabinet de Valence d'envoyer massivement en Russie, ou à Perpignan, des lisasses d'actes de naturalisation et de passeports en blanc. Les recruteurs y inscriront le nom des soi-disant volontaires, et ceux-d passeront les frontières comme de iraia Espagnols jsnfjant chss eux. ̃̃'̃'•̃ ̃ ••- '̃ Telle est l'attitude de grossière duplicité adoptée par un gouvernement que toute l'Europe se plait à considérer comme notre intime allié. C'est flattent. en vérité Hitler et Mussolini ont la partie belle et la propagande facile lorsque, lisant nos annales parlementaires et les votes de la Chambre depuis juin 1936, ils constatent que les communistes sont les soutiens fidèles de M. Blum et les animateurs d'une C. G. T. qui ést là maîtresse absolue des destins du gouvernement français Signalons enfin que Moscou se livre, depuis quelques jours, à un singulier chantage à notre égard et à l'égard de l'Angleterre. Staline fait savoir à une agence britannique qu'il considère que, depuis la remilitarisation de rhénane et la guerre espagnol. France et Grande-Bretagne sont stratégiquement beaucoup moins fortes qu'auparavant se solidariser avec elles devient, pour l'U. R. S. S., une affaire médiocre on ne pourrait conjurer l'affaiblissement commun qu'en agissant tous de concert en Espagne d'une façon Immédiate. Si Paris et Londres refusent, dit-on au Kremlin, l'U. R. S. S. se repliera sur elle-même et abandonnera à leur sort les démocraties occidentales. Le mensonge ou le bluff, la tromperie ou la menace, tels sont les procédés internes et internationaux du communisme. Son but, c'est la révolution violente au profit d'une dictature. Nous ne pouvons concevoir comment les radicaux ont pu admettre, même un Instant, l'alliance politique avec un parti qui n'a pour objet que la destruction intégrale du régime démocratique 1 DANS L'OISE UN AVION HOLLANDAIS S'ECRASE AU SOL. Ses quatre occupants sont tués Senus, 19 janvier. Cet après-midi, à 14 h. 5, un avion de tourisme hollandais immatriculé c P. H. M. A. J. » s'est écrasé sur le sol près de la commune de Pontarme. L3 chute s'était produite prts du bois de Mocreux, sur le territoire de la commune de Mont-L'Evêque. On ne trouva dans les débris de l'appareil, dont l'aile droite avait été arrachée, que deux des 'aviateurs. MM. Scenmer et Fissot. Les corps des deux autres, Adrianin Hœrtens et Jacob Maltha, furent retrouvés dans les chamns à environ 150 mètres du point de-chute. Des morceaux de l'aile de l'avion ont été découverts à 800 mètres de là. Les corps des quatre victimes ont été transportés ce soir à l'hôpital de Senlis. On attend l'arrivée du consul wénéral des Pays-Bas et du commandant Girardot, du Bourget. LES CONFLITS ÏE TRAVAIL DOIT REPRENDRE CE MATIN AUX AB A TTOIRS Le différend, aux termes de la loi, sera tranché' par arbitrage LE CONFLIT. DES ABATTOIRS PARISIENS Malgré la grève, l'activité régnait hier à l'intérieur des abattoirs. PARIS, 19 janvier. Les pourparlers engagés hier entre les patrons et employés des abattoirs ayant échoué, la grève commencée la veille continuait ce matin. Cependant, il est désormais établi que le travail reprendra demain matin. ,,Aux Halles Centrales, on déclarait, à la fin de la matinée, que la grève des abattoirs avait eu pour conséquence de faire baisser l'approvisionnement des pavillons de la boucherie. Néaninoins, grâce aux réserves, les bouchers détaillants étaient pourvus comme à l'ordinaire. Les représentants des ouvriers des abattoirs de la Seine ont été reçus à la présidence du Conseil par M. Marx Dorinoy, qui, après cette entrevue, a également reçu M. Robert Lévy, président de la Fédération des Boucheries en gros, et M. Joubin, président de la Fédération des sous-produits des abattoirs. Une réunion, commune a eu lieu ensuite souc la présidence du ministre de l'Intérieur entre les représentants patronaux et ouvriers. Au cours de cette réunion, il a été convenu ce qui suit 1° Conformément à l'article 2, paragraphe 2 de la loi du 31 décembre 1936, le travail reprendra immédiatement; 2° Les contestations qui existent actuellement entre les parties seront portées immédiatement devant un arbitre désigné par le .gouvernement. Cet arbitre rendra sa sentence le plus rapidement possible. Cette dernière, conformément à l'article 6 de la loi du 31 décembre 1936, sera publique, obligatoire et sans appel. Il n'y aura pas de renvois pour faits de grèves. L'intendant général Bernard, directeur général de l'Intendance au ministère de la Guerre, a été désigné par le Président du Conseil comme arbitre dans le conflit de la boucherie. Voir en DERNIERE HEURE n LES R1C0E0R8 DE HIVER TEMPETE DE NEIGE sur l'Allemagne Berlin, 19 janvier. Un ouragan de neige s'est abattu cette nuit sur toute l'Allemagne. De nombreux navires, surpris par la tempête, se sont réfugiés en hâte à Kiel et dans la plupart des ports allemands de la Mer du Nord et de la Baltique. A Sassanitz. de nombreux arbres ont été arrachés. La neige a considérablement gêne la circulation ferroviaire. INONDATIONS en Amérique New-York, 19 janvier. Les inondations de la rivière Ohio et de ses affluents qui touchent huit Etats sur un parcours de kilomètres ont causé la mort de six personnes et contraint trois mille familles à évacuer leurs domiciles. Les dommages matériels s'élèvent à plusieurs millions de dollars. Cinq mille employés de l'organisation du travail des chômeurs, sous la direction d'ingénieurs du génie militaire, combattent le fléau qui est dû aux pluies incessantes des deux dernières semaines. LE FROID SÉVIT en Europe Centrale Varsovie, 19 janvier. Un froid très, vif règne dans toute la Pologne. A Varsovie, par 170 au-dessous de zéro, la Vistule est gelée. Le fleuve charrie des glaçons jusqu'à son embouchure et les brise-glaces fonctionnent sans arrêt dans la baie de Dantzig. A Lwow, le froid atteint moins 20"; 87 personnes se sont présentées hier dans les hôpitaux avec les mains, les pieds ou les oreilles gelées. BUCAREST, 19 janvier. Le Danube est gelé entre Galatz et Tulcea. La couche de glace est très épaisse et l'on peut traverser le fleuve d'une rive a l'autre. A Constanza, la Mer Noire est gelée jusqu'à 100 mètres de la rive. Plusieurs personnes sont mortes de froid. Un paysan a été dévoré par les loups qui, en plusieurs endroits, cherchent à pénétrer dans les villages. A PROPOS DE LA TAXE UNIQUE DE 6 SUR LE CHIFFRE D'AFFAIRES Voir plns loin en Informations diverses L'OURAGAN SUR LA MANCHE Ou difue anflaite est battue par le* flot*. LES ENTREVUES CŒRING-MUSSOUNI Il faut régler d'abord l'affaire espagnole dit un article inspiré Roux, 19 janvier. Les première* précisions sur les conversations Goering-Mussolini et sur la réponse italoallemande à la note anglaise sont données par Virginio Gayda dans le Giornale d'Italia organe nettement inspiré par le Duce. D'après celui-ci, le voyage du général Goering a confirmé la solidité du front italo-allemand à l'égard de tous les problèmes européens. Entre Rome et Berlin, il n'y a plus rien à éclaircir ou à définir; il suffit de mettre à jou! la collaboration d'après les variations du moment. L'axer Rome-Berlin demeure la directive essentielle de la politique extérieure italienne. Les autres collaborations auxquelles participe l'Italie, par exemple le c Gentlemen's agreement », ne s'opposent pas à cette directive centrale, mais s'harmonisent avec elle. Le problème espagnol a été le principal de ceux qui furent examinés dans les conversations de Rome. Son importance découle non seulement des complications internationales qu'il peut entrainer, mais aussi de ce que rien ne pourra être tenté en Europe tant qu'il ne sera pas résolu. Qu'il s'agisse de Locarno ou du pacte à quatre, il faut d'abord régler l'affaire espagnole. Les trois principes de la politique italo-allemande à l'égard de l'Espagne sont 1° pas de régime communiste 2" nécessité de cantonner la guerre civile dans les limite de ses éléments nationaux authentiques; 3* LE DUCE ET LE GENERAL assistant à une parade au Forma Mussolini prompte collaboration à toute initiative de bonne foi en faveur de la neutralité. Le miniatre allemand admire les collines d'Anacapri CAPRI, 19 janvier. Le général Hermann Goering a passé la matinée dans son appartement, où il a travaillé. Il avait reçu ce matin un courrier particulier qui avait été amené spécialement à Naples par le contre-torpilleur Baleno. Cette nuit, le général, accompagné de olusieurs autorités italiennes, avait fait une' longue promenade jusqu à Anacapri, où il était resté jusqu'à 2 heures du matin. Le prince de Piémont, venu de Naples, a pris part à un déjeuner que le général Gœrinfc a offert en son honneur. Le général Goering a décidé de prolonger son séjour à Capri jusqu'à vendredi. POUR SECONDER SON FRÈRE LE DUC DE GLOUCESTER VA QUITTER L'ARMÉE Londres, 19 janvier. On annonce de source officielle que le duc de Gloucester a décidé de renoncer à poursuivre sa carrière dans l'armée afin de pouvoir aider le roi George VI dans l'exercice de ses fonctions. Le duc et la duchesse de Gloucester viendront donc résider à Londres et s'installeront à York-House vers la fin du mois de mars. LE RAID PARIS-TOKIO Paris, 19 janvier. L'équipage Doret-Micheletti compte s'envoler demain matin à 6 heures du terrain d Bourget pour Tokio. LA CHAMBRE A REPRIS LE DEBAT SUR L'AMNISTIE Aucin des correctifs détendus âV trouvé grâce Paiub, 19 janvier. La Chambre reprend cet après-midi le projet t!'amnistie, dont la discussion avait eté abandonnée le 31 décembre. L'article 2, auquel on en était resté, ..concerne entre autres les délits de certificats, de violences, voies de faits officiers ministériels ou agents de la force publique, menaces, M. Marin voudrait que l'on exceptât de ;'amnistie, comme le demandait le gouvernement, le port illégal d'uniformes et la vente de timbres-poste ayant déjà servi, mais il renonce bientôt sur les instances de M. Sérol, pré̃x aident de la Commission de législation. M. Parmentier. lui, souhaite que l'on ne montre pas d'indulgence pour les faux commis dans les passeports. Il n'obtient pas davantage gain de cause. *• Le délit de détournement V d'objets saisis •• M. Vallat est d'avis de refuser l'amnistie pour le détournement d'objets saisis. mais M. Sérol soutient que le petit fermier ruiné. qui emporte sa tortie de la ferme un peu de matériel qui était là à son entrée dans la ferme, et sur lequel le propriétaire a pratiqué une saisie, ne peut être taxé d'abus de confiance. Une fois de plus, la Commission l'emporte. M. Emile Perrein. député du Maineet-Loire, plaide la cause de ceux qui ont offert, donné ou reçu des paris pour les courses de chevaux. Ce texte est trop large au gré de la Commission, qui oppose une rédaction limitatlxe lixant des cas exceptionnels, et notamment ceux des petits cafetiers ayant accepté des paris clandestins. Après quelques mots de M. François Martin en faveur de l'amendement Perrein. celui-ci est repoussé par 528 voix contre 88. M. Parmentier réclame l'indulgence pour les contrevenants aux lois sur les lotissements. M. Brmehard l'appuie, mais M. Sérol combat. Une joute au sujet de l'affichage ^des Iocaux disponibles Finalement, M. Parmentier abandonne, mais c'est pour mieux rompre des lances en faveur des propriétaires 'qui ont omis d'afficher les locaux disponibles dans les formes prescrites par lq loi. Le rapporteur, M. Richard, s associe cette façon de voir. Après deux épreuves douteuses et un scrutin pu- bUe, le second amendement Parmen- -Aler est repoussé par 360 voix contre 3W. Enfin, l'article 2 est adopté. M, Quenette demande la suppression de l'article 3. qui décrète l'amnistie pour certains faits commis antérieurement au 12 novembre 1936 qui ont entrainé, pour les délinquants primaires, soit une peine d'emprisonnement inférieure ou égale à 15 jours, soit une peine d'emprisonnement avec sursis inférieure ou égale à 3 mois. soit une peine d'amende inférieure ou égale à 500 francs, soit une peine d'amende avec sursis. M. Quenette fait valoir que des petnea différentes peuvent, selon les divers tribunaux, frapper les mêmes délits. On aboutirait A l'application d'une Ipi d'amnistie par le pouvoir Judiciaire. ce qui est intolérable. Sans méconnaître que l'article en discussion pèche par certains côtés, M. Rùcart, garde des Sceaux, prie la Chambre de le voter dans un geste de générosité envers ceux qui ont fauté une seule fois. t En 1025. rappelle-t-il, l'amnistie personnelle avait été accordée de la même façon par M. Léon Bérard » .Tout en reconnaissant oue les moelles du gouvernement sont très res'pectables. M. Quenette répond que les arguments sentimentaux invoqués par M. Rucart ne détruisent pas les motifs juridiques sur lesquels il avait basé son raisonnement. Quoi qu'il en soit, le député de Meurthe-et-Moselle s'incline. La suppression de l'article 3 i est repoussée M. Richard réédite néanmoins le discours du garde des Sceaux et M. Drouot celui de M. Quenette La suppression de l'article 3. sollicitée par le député fie la Haute-Saône, est repoussée par S93 voix contre 200. après explications de vote de MM. Desbons et Parmentier. Le communiste Langumier réclame l'amnistie pour divers délinquants primaires condamnés avant le 1er janvier 1937 à des peines d'amende et de prison avec ou sans sursis. 1 VOUS ne pouvez tout de même amnistier tous les escrocs a, proteste le président de la Commission de législation, approuvé par le gouvernement. La Chambre dit de méme par 428 voix contre 75. en rejetant l'amendement Langumier. M. Parmentier voudrait qu'au moins il fut entendu que l'amnistie ne bénéficiera pas aux infractions non encore jugées car les magistrats ne peuvent tout de même pas condamner un individu eh le sachant par avance amnistie- L'Assemblée, qui n'en e3t pas à une contradiction près, décide que si i par 312 voix contre 216. Elle adopte, par contre, à mains levées, un amendement de M. Frot. visant une dernière catégorie de peines. Mais voici que s'ouvre le chapitre des restrictions Exceptés, suggère M. Marin. e vol, les coups et blessure3 ayant entraîné une incapacité de plus Par 378 voix cette sutgestion est repoussé;. t Am^lst'ei les chômeurs condamnés pour escroanerle et abus de confiance plaide M. Légumier qui se contente d'ailleurs, d'une manifestation électorale et se garde d'insister. Pu 'd'amnistie pour les fraudes en matière d'appellation d'origine,. souhalte M. Parmentier, bientôt battu par 398 voix contre 201. Les communistes n'oublient pas les leurs Le communiste Quinet voudrait que l'on réintègre dans la nationalité française ceux qui en ont été déclarés déchus en vertu de l'article 9 de la loi du 10 août 1927. Il s'agit du cas d'un Polonais naturalisé, militant syndicaliste, nommé Olzanski, et d'une femme française par son mariage. Mme Régnier, qui distribua des tracts antimilitaristes. Pour repousser l'amendement, le rapporteur fait valoir la gravité des faits. Le cas des commerçants faillis On vote. Il. y a lieu de procéder au pointage. Pendant qu'on s'y livre, la Chambre aborde l'article 4 qui réhabilite, à certaines exceptions près et les droits des créanciers étant réserves, les commerçants déclarés en état de faillite ou de liquidation judiciaire antérieurement à la promulgation de la loi. Sauf en cas de récidive, veut faire préciser M. Vallat. Un nouveau scrutin intervient. L'amendement Vallat est repoussé par 328 voix contre 218. L'article 4 voté, la suite du débat est renvoyée à jeudi après-midi. La séance est levée à 19 heures Quelques Instants plus tard, on apprenait dans les couloirs que l'amendement Quinet était adopté par 299 voix contre 245. M. P. LA CRISE DE LA NATALITÉ Une proposition de M. Le Poullen Paris, 19 janvier. Dans son rapjport sur l'aide à apporter aux familles nombreuses, M. Le Poullen, député d'Iile-et-Vllaine, rappelle la situation démographique de la France en 1935 décès de p!u3 que de naissances. t La France, ajoute-t-il, a le bilan naissances-décès le plus défavorable de toutes les nations de l'Europe et sans doute du monde entier. L'Italie, population sensiblement égale à la nôtre, compte un excédent annuel de naissances depuis trois ans. L'Allemagne volt cet excédent approcher de Nous devons, par tous les moyens. nous efforcer de favoriser le nombre des naissances, si -nous voulons conserver il. notre pays son rang de grande nation x Nous ne pouvons plus espérer, au-' jourd'hui. un relèvement de notre po- pulation en abaissant le pourcentage do" la mortalité infantile les lois d'hygiène sociale, de ce côté. ont donné leur plein résultat. Ne nous leurrons donc pas d'espoirs chimériques Ne comptons pas sur des naturalisations aouvent reerettables pour maintenir le chiffre de notre population. La crise de la natalité est due chez nous à l'affaiblissement du niveau mora des jeunes générations, du fait de 1n guerre et des années d'après-guerre et aux difficultés matérielles de toutes Fortes auxquelles se heurtent les jeunes nonr fonder un foyer. La crise agricole a éprouvé une population où nous trouvions le plus de berceaux. Si nous voulons éviter que les Jeunes ménages ne limitent pas le nombre de leurs enfants. 11 faut leur donnPr la possibilité de les élever en leur éVUant la gène et la misère. En conclusion, M. Le Poullen présente la proposition tendant à accorder aux chefs de famille de nationalité française non assujettis à l'impôt général sur le revenu, une allocation annuelle de 900 francs par enfant de moins de 14 ans à partir du troisième. interdisant les départs de volontaires pour l'Espagne Dans son discours de réélection, M. Jeanneney avait précédemment rappelé le rôle de la Haute Assemblée Paris, 19 janvier. La séance est ouverte a 15 h. 30, sous la présidence de M. Jeanneney qui, l'on s'en souvient. fut réélu président à la dernière séance. Après les remerciements et les congratulattons d'usage. M. Jeanneney fait le tour de l'activité sénatoriale au cours des huit premiers mois de la législature. Il commence par regretter que le Sénat ait été parfois dans l'obligation de discuter de manière hâtive des textes législatifs importants et plus particulièrement le projet de budget de 1937. Il observe, à ce propos, que la Haute Assemblée n'a jamais, à aucun moment de son histoire, songé à se drexser contre la Chambre issue du suffrage universel. Elle ne poursuit qu'un but légiférer avec méthode dans la clarté, et rien de plus. Le Sénat est tout entier acquis aux idées de progrès social, mais une difficulté subsiste assortir aux choses conçues les moyens de les réaliser. Le rôle modérateur de la Haute Assemblée C'est ici que le rôle modérateur du Sénat a l'occasion de s'exercer de façon utile. En fin de compte, nul n'oserait prétendre que le stage subi ici par maints projets de loi n'ait pas été grandement profitable à leur mise au point. nous Le pays, continue l'orateur, dont pensée, s'en aperçoit avec le temps. Ne s'en rend-il pas même, dès maintenant, un peu compte ? Les conditions de la reprise des affaires Le président du Sénat, après avoir dit les inquiétudes par lesquelles avait passé l'opinion publique, envisage les possibilités de reprise des affaires. Mais il précise Qu'on se le dise bien, toutefois, les capitaux né consentiront à s'employer que dans la stabilité, dans le respect des engagements, dans l'ordre légal. » Et. pour terminer, M. Jeanneney adresse un appel à la collaboration de tous les Français. Sa péroraison est saluée de bravos prolongés. La liste des interpellations Le président du Sénat donne ensuite lecture des Interpellations déposées depuis la dernière session, interpellations que nous avons données au fur et mesure de leur dépôt. D autre part, M. Jeanneney rappelle au Sénat que les interpellations suivantes avaient été préoédemment déposées 1" par M. Gautherot, sur les menées communistes en France et en Afrique du Nord; 2° par M. Gaston Rugé sur les licences d'importations; 3u par M. Le Bail sur les mesures relatives à l'importation de l'iode; 4° par M. Armbruster sur la politique extérieure 5° par MM. Jean Philipp et Bstoulle concernant les travaux et le personnel de la radiodiffusion; enfin, 6° par M. Roux-Freisslneng sur les menées antifrança'ies en Algérie. L Sénat fixe aux dates suivantes 1m Interpellations ci-après le 26 janvier, interpellation Ce MM. Philipp et Batoulle le 29 janvier, celle de MM. Oautherot et Roux-Freislneng situation en Algérie le 2 février, celle de M. aautherot menées communis- tes en France et après la prochaine seasion de la 8. D. N.. l'interpellation de M. Marcel Plaisant. La nomination des commissions Le Sénat décide ensuite, qu'il nommera ses Commissions annuelles, le mardi 2 février, et le jeudi 4 février. celle de la Commission d'instruction de la Cour de justice. Le président du Conseil dépose le projet de loi adopté par la Chambre concernant le départ de volontaires pour l'Espagne. Ce projet sera discuté, jeudi prochain. La Haute Assemblée valide encore l'élection de M. Ouilhem dans le dé- partement de l'Aude et s'ajourne au. 21 janvier, 15 heures. UN INCENDIE MONSTRE DANS LES DOCKS DE MELBOURNE Un paquebot est endommagé par les flammes qui causent cent millions de dégâts Melbourne, 19 janvier. Un violent incendie a eclaté dans les docks Victoria, où se trouvent entreposées de grandes quantités de vivres appartenant au gouvernement australien. Les flammes, activées par le vent, se sont rapidement communiquées au paquebot Port-de-Wellington, qui a dû être remorqué jusqu'au fleuve. Les dégâts sont évalués à près de cent millions de francs. C'est Berchtesgaden que siégerait déaormaia la chancellerie du Reich MUNICH, 19 janvier. Berchtesgaden parait devoir devenir, dans un avenir prochain, le siège de la chancellerie du Reich. L'érection, à Berchtesgaden, d'un édiflce destiné à abriter les services de la chancellerie semble indiquer que M. Adolphe Hitler veut établir sa résidence habituelle dans les Alpes bavaroises. On remaroue, à ce propos, que les séjours de M. Adolphe Hitler à Berlin se font de plus en plus rares et ne durent généralement que quel- ques jours. ÉCHOS PARLEMENTAIRES Une délégation radtcale-ioelaliite se rendra à Barcelone PARts'19 janvier. Le groupe rdlclsoclallate s'est réuni ce matin à la Chambre. Répondant à une Invitation de la généralité de Catalogne, il a désigné une délégation composée de MM. Bosaoutrot, Bezos. Fully. Galimand. Ouiebard, LauaUe, Manent et Naudin, qui aura pour mission de se rendre à But- celone, afin de recueillir dee informations au. situation. La question de la retraite des Inscrits maritimes a été ensuite exposée par M. Perrot et un ordre du jour a été voté pour signaler au Gouvernement l'urgente nécessité du relèvement de la pension des Inscrits maritimes Une dé- I légation se rendra. cet effet, auprès au mUçOsUe des Finanett, LA GUERRE D'ESPAGNE Valence et Salamanque ont répondu r!au plan due contrôle des voies d'accès en Espagne LEURS RÉPONSES SONT, ELLES AUSSI, TRÈS CONDITIONNELLES. SINON NÉGATIVES Une bombe tombée dans une des artères du centre de Madrid, a erevé la voûte du métro LONDRES. 19 janvier. Les réponses de Valence et de Salamanque au plan provisoire de contrôle des voies d'accès terrestres et maritimes à l'Espagne sont maintenant parvenues à Londres. On sait que ce projet, élaboré par le Comité de non-intervention, avait été soumis, au nom de ce comité et par les moins du Gouvernement britannique. aux autorités des deux partis espagnols, au début de janvier. réponse de Valence énumère certaines conditions dont la réalisation pourrait, aux yeux du Gouvernement espagnol, rendre ce plan acceptable. Elle fait notamment observer que le plan du Comité demande à être précisé en ce qui concerne le contrôle des ports aux mains des insurgés, et que ce projet doit être étendu aux arrivées de volontaires en Epsagne. Elle spécifie également que la violation du projet par l'une quelconque des parties contractantes devrait rendre leur liberté d'aotion aux autres signataires. Les objections des nationaux La réponse de Salamanque, dont le résumé télégraphique seulement a été reçu à Londres, n'accepte ni ne refuse .en termes spécifiques le plan de contrôle mais on a l'impression, dans les milieux bien informés. que les autorités de Salamanque répugnent à prendre ce plan en considération. Ces autorités. après avoir rendu hommage au strict respect de la neutralité par le Gouvernement britannique, expriment le regret que d'autres puissances ne se conforment pas aussi rigoureusement à leurs engagements en particulier en ce qui concerne les départs de volontaires. Vers l'élaboration d'un nouveau projet Relativement à ces deux réponses et au caractère négatif de celle de Salamanque, on fait observer, dans les milieux autorisés, que de nombreux aspects du plan de contrôle soumis aux Espagnols ont été modifiés au cours des travaux ultérieurs du Comité de non-intervention. Le projet initial est, en fait, actuellement en voie de remplacement par un nouveau plan de contrôle qui. espère-t-on, enrayera les départs de volontaires aussi bien que l'envoi de matériel de guerre. Ce projet, qui pourrait voir le jour prochainement, aurait, en outre, l'avantage de répondre à la- plupart-des points soulevés par les deux réponses espagnoles, et de ne pas' dépendre, autant1 que le précédent, de l'acceptation des deux partis en présence. Malgré la réticence des milieux ofnciels, au sujet de ce nouveau projet, on recueille l'impression qu'il combinerait le contrôle terrestre et maritime prévu dans le plan initial, avec un système de surveillance qui fonctionnerait en dehors du territoire et des eaux territoriales espagnoles. LE BOMBARDEMENT PAR UN AVION INCONNU DU CONTRE-TORPILLEUR FRANÇAIS MAILLÉ-BRÉZÉ » Toutou, 19 janvier. Un officier du Maillé-Brézé, arrivé cette nuit à Toulon, a fait la déclaration suivante, au sujet du bombardement de cette belle unité navale française, par un mystérieux avion, au large du Cap San Sebastian Le Maillé-Brézé, a-t-il dit, avait quitté hier matin, vers 8 heures, Barcelone. Une heure plus tard, un avion trimoteur, ne portant aucune marque extérieure, a survolé le contre-torpilleur à une hauteur d'environ mètres, et a lancé six bombes qui sont tombées à environ 200 mètres du bord. L'équipage, massé sur le pont, hurlait apres les aviateurs. Malgré la demande des matelots, les officiers du bord refusèrent de tirer sur l'avion et le navire a poursuivi sa route sur Toulon. En dépit de tous les efforts des observateurs de ce navire, il a été matériellement impossible d'établir la nationalité de l'avion. Le Maillé-Brézé. qui fut lancé en 1931 aux chantiers de Penhoët, à StNazaire, était parti de Palma le 16 à destination de Barcelone. Il est actuellement détaché sur les côtes d'Espagne, prêt à assurer éventuellement l'évacuation des ressortissants français des ports de la péninsule. Le ministère de la marine confirme l'agreeeion Paris, 19 janvier. Le miniatére de la Marine communique Le contre-torpilleur Maillé-Brezé, venant de Barcelone et ralliant Toulon, a été attaqué en mer et bombardé a deux reprises, le 18 janvier, a 9 h. 35. à 15 milles au large du Cap San Sébastian. Cinq bombes ont été lancées, dont aucune n'a atteint le Maillé-Brézi. Une enquête est ouverte pour identifier l'agresseur. Le ministre de la Marine, précis» nt les règles générales édictées par le décret sur le service à bord des bâtiments de la Flotte, a donné comme Instructions aux navires de guerre francais croisant sur les côtes d'Espagne, l'être en tout temps prêts à riposter à toute attaque nettement dirigée contre eux. Un bâtiment italien aurait été capturé par les gouvernementaux Midrid, 19 janvier Selon un rappor venant de Valence, un bateau marchand Italien transportant' une cargaison d bombes et de matériel de guerre destiné aux nationalistes aurait été capturé par un navire appartenant aux loyalistes. Un submersible tente de torpiller un vapeur VALENcp, 19 janvier. On mande de Tarragone qu'un sous-marin dont on ignore la nationalité, a lancé deux torpilles en direction du vapeur espagnol au large du lieu dit La Punta Del Faro. Les engins n'ont pas atteint le bateau et sont venus éclater contre les rochers, au pied du port. Le s'est mis à l'abri dans le port de Tarragone. Quel est le sort du Français Georges Hamel ? BAYONHE, 19 janvier. Des renseignements particuliers de bonne source contredisent l'information publiée ces jours derniers au sujet de la récente exécution, à Santander, du Français Georges Hamel, qui dirigeait les entrepôts de pétrole d'une maison française. Quand le gouvernement espagnol décréta le monopole du pétrole, M. Hamel abandonna cette direction et créa une distillerie à son compte. Dès le début de la guerre civile, il fut l'objet de menaces de moft de la part des extrémistes. C'est dans le courant de septembC qu'un matin, vers 10 h. 30, il fut apprts hendé à son domicile et jeté dans une automobile. Depuis on est resté sans nouvelles de lui Les consuls français de Santander et de Eilbao ont ouvert une enquête, mais toutes les recherches sont restées vaines. Georges Hamel était le doyen de la colonie française de Santander. Le cardinal-primat d'Espagne écrit au gouvernement basque PAR BAYowre, 19 janvier. Le cardinal primat d'Espagne a adressé une lettre à M. Aguirre, président du gouvernement basque de Bilbao, reprochant à celui-ci et ses collaborateurs de continuer leur collaboration au gouvernement de Valence. LA LOTERIE NATIONALE Aujourd'hui, émission de la première tranche 1937 PARIS, 19 janvier. Le Secrétariat de la Loterie Nationale procédera demain à rémission de la première tranche de la loterie 1937. Le tirage aurait 1'.u au début de la seconde quinzaine de février. COURTE FUGUE. Guxlph Ontario, 19 janvier. A l'exception de cinq d'entre eux, la totallté des prisonniers qui s'étaient évadés de la maison de réforme d'Ontario ont été capturés. LE PAPE SOUFFRE A NOUVEAU DE DOULEURS PLUS FREQUENTES Crrt du Vaticak, 19 janvier. Les douleurs que le pape ressentait & la jambe sont devenues plus fréquentes depuis deux jours, après l'apaisement qui s'était vérifié ces derniers temps. Cela ne l'empêche pas, cependant, de continuer à se consacrer à ses occupations habituelles. Une Confédération nationale des Syndicats professionnels On nous communique La Confédération Nationale des Syndicats Professionnels Français vient de se constituer. Son siège social, est fixé provisoirement 34, rue Godotde-Mauroy 9*, ses statuts ont été déposés sous le n, Elle a pour but De créer des syndicats professionnels dans chaque établissement commercial et industriel ou agricole, pour la défense des intérêts .de leurs »dhérents. De grouper lesdits syndicats en fé> dérations départementales et de réunir ces fédérations dans la Confédération Nationale. D'observer si les conditions de travail sonc conformes au code de travail, soit en raison de la législation établie, soit en raison de contrats individuels et collectifs, soit par suite de règlements existants entre les directions et les salariés. Faire connaître au patronat la doctrine économique et sociale de la Confédération nationale des syndicats professionnels français, travailler à établir dans l'intérêt général une coopération sur toutes les améliorations aux conditions de travail. Faire respecter la liberté du travail et des opinions, obtenir pour chaque travailleur un salaire lui permettant d'élever dignement sa famille et assurer la sécurité de ses vieux jours. Résolument placée en dehors de toute école politique et religieuse, la Confédération des syndicats professionnels français réunira les travailleurs conscients de la lutte à mener pour la reconstitution économique et sociale et pour la revalorisation de l'homme dans son métier. Pour tous renseignements. s'adresser au siège, 34, rue Godot-de-Mauroy. LE SHAH DE PERSE RAPPELLE SON mINISTRE A PARIS Une allusion littéraire serait à l'origine de cette mesure Paris, 19 janvier. Indisposé par une allusion d'un échotier parisien, jugée par lui blessante pour l'Iran, le Shah de Perse vient de rappeler son ministre à Paris. M. Abolghassen Frouhar. Le souverain iranais a décommandé du même coup la participation de la Perse A l'Exposition Universelle de Paris. SOURIMES II ne faut Jurer de rien. Surtout, vteux garçons fiers de votre liberté, n'affirmez pas devant témoins que vous n'êtes point eatpétrés dans les Ilens du marlage. On ne sait Jamais. Supposer que l'aventure dont ne rit pas, mals pas du tout, son héros, un habitant du douzième arrondissement parisien, vous soit arrivée f. L'homme se présente il la mairie Je viens chercher une pièce d'Iden. tlté. la meilleure de toutes, un extrait des reglstres de l'état civil. Voilà, monsieur. "Hein ? Mais vous faites erreur. Je suis célibataire Non, monsieur. Vous avea épousé, 11 y a vingt ans, au Creusot, une dame qui ee prénomme Augustlne. Mol f. Vous-même. C'est écrit. Bt sur papier timbré encore L'explication est simple pendant la guerre un soldat égare son livret mlHtaire, un quidam s'en empare et vit sous le nom du poilu dépossédé. C'est aiûil qu'un célibataire prend femme sans le savoir. a plusieurs enfant* qu'il ne connaîtra Jamais et endosse aux yeux de la toi une responsabilité à laquelle Il ne saurait se soustraire. Le voilà bien, le vrai dédoublement de la personnalité Avec cette méthode d'usurpation un honnête citoyen peut non seulement épouser à son Insu la plw Insupportable mettre du paye. mais passer aux Assise» sans se douter de sa culpabilité et finir sei Jour» au bagne, malgré lui, malgré se» bons antécédents. Célibataires, Je vous en prie, acceptez le conseil suivant.. Courez vite au bureau de l'état civil. Vérifiez donc si personne n'a eu l'Idée saugrenue de se marier pour vous. 81 oui, entamez le tour de Franee la recherche de l'autre vous-même. Si non, convolez en justes noces aa plus tôt afin de couper court a un vol d'Identité toujours possible et à un nuriage mystérieux dont vous ferte7. les trafs sans être présent a la cérémonie.. Ah qu'il est malaisé de rester réIU bataire > LE PETIT QBfOOUUS PARIS, 20 janvier, 5 heures du matin. LE CONSEIL DE LA SE REUNIRA DEMAIN A GENEVE Six ministres des Affaires Etrangères seront présents GErtvE, 19 janvier. On confirme l'arrivée imminente à Genève de MM. Anthony Eden, Litvinoff et Antonesco. Avec MM. Delbos. Rustu Aras et Sandler, la 96' session au Conseil qui s'ouvre jeudi, à 17 heures, réunira, a Genève, six ministres des Affaires Etrangères d'Europe. Il est impossible que l'occasion ne soit pas mise à profit par eux pour conférer, en marge du Conseil, des grands problèmes actuels de la politique extérieure. Abstention de l'Italie ROME. 19 janvier. L'Italie ne participera pas aux travaux du Conseil de la S. D. N. On fait, en effet, remarquer qu'aucun événement nouveau n'est venu modifier l'attitude de l'Italie à l'égard de Genève. Une conférence à l'Hôtel Matignon PARIS, 19 janvier. M. Blum prési- dent du Conseil, a présidé cet aprèsmidi, à l'hôtel Matignon, une conférence en vue d'examiner les diverses questions qui vont être posées au prochain conseil de la S. D. N., à Genève. A cette conférence assistaient notamment MM. Delbos, Vienot, Massigli, Daladler et Gasnier-Duparc et Pierre Cot. M. Yvon Delbos quitte Paris PARIS, 19 janvier. Ce soir, à 23 h. 20, M. Yvon Delbos a quitté Paris par la gare de Lyon pour Genève. Il était accompagné de MM. Viénot, soussecrétaire d'Etat Massigli, directeur politique, et Basdevent, jurisconsulte. LA LIBÉRATION DE LA CLASSE » AURA UEU LE 10 AVRIL Les opérations de libération des militaires appartenant aux catégories suivantes a engagés par devancement d'appel en avril 1935 et astreints à 2 ans de service b ajournés ou sursitaires appartenant à la troisième fraction de la classe 1933 et à la première fraction de la classe 1934, incorporés en octobre 1935 et astreints à 18 mois de service c ajournés ou sursitaires appartenant à la deuxième fraction de la classe 1933 incorporés en avril 1936 et astreints à un an de service par application des dispositions de l'article l" de la loi du 17 mars 1936 d tous autres jeunes gens dont les obligations légales d'activité expirent le 15 avril 1937, auront lieu par anticipa- tion le 10 avril 1937. Toutefois. les jeunes gens appartenant à la catégorie b ci-dessus et incorporés en septembre 1935 dans les unités de forteresses dent les obligations légales d'activité expirent 'e 1™ mars 1937. seront libérés par anticipation le 20 février 1937. LES RECOUVREMENTS DES IMPOTS SONT EN DIMINUTION Paris, 19 janvier. Le ministre des Finances vient de communiquer le tableau du rendement des impôts en décembre dernier et pour l'ensemble de 1936. Au titre des impôts indirects, il a été perçu 3 milliards 689 m'llions en décembre. Les recouvrements effectués au titre des impôts cédulaires de l'impôt général sur le revenu des Contributions directes et des taxes assimilées, au cours de décembre, s'élèvent à francs. Cette somme est inférieure de francs aux recouvrements constatés en décembre 1935. pendant la même période. Il a été recouvré au profit des départements et des communes, au titre des anciennes Contributions directes, une somme de francs. Le total des Contributions directes encaissées en décembre 1936 atteint ainsi la somme de francs. On arrête les agresseurs du notaire de Saint-Antonin Toulouse, 19 janvler. L'enquête menée de concert avec la Sûreté car la police mobile de Toulouse au sujet de l'agression commise sur la personne du notaire de Saint-Antonin Tarn-etGaronnei, vient d'aboutir à l'arrestation de deux mauvais sujets déjà connus de la police. Une troisième arrestation serait imminente dans la région parisienne. Paris, 19 janvier. Le Journal Officiel va publier demain matin le décret portant application de la semaine de 40 heures aux chemins de fer. Ce decret prévoit une période d'application oui lm Juaou'à. la fin du mois d» mai, LES CONFLITS DU TRAVAIL Le personnel des abattoirs de la Villette et de Vangirard accepte les décisions prises par les délégaés PARis, 19 janvier. Les ouvriers et employés des abattoirs de la Villette et de Vaugirard, ainsi que des boucheries et charcuteries en gros, à l'issue d'une réunion cet après-midi, ont décidé d'accepter le protocole et de reprendre le travail demain matin. Des ouvrières parisiennes occupent un magasin PARIS, 19 janvier. Les ouvrières d'un magasin de nouveautés, 36, faubourg Saint-Denis, se sont mises en grève et ont occupé les locaux. Grève du bâtiment dans le Limousin LIMOGES, 19 janvier. Les pourparlers entamés au sujet de l'augmentation des salaires et de l'application des lois sociales ne leur ayant pas donné satisfaction, les ouvriers du bâtiment et des scieries de la région de Sainte Amand. Magnazeix et de Fromental se sont mis en grève. .et à Vichy ViCHY, 19 janvier. Les ouvriers du bâtiment de Vichy se sont mis en grève. Ils estiment que l'accord mtervenu entre patrons et ouvriers concernant la semaine de 40 heures n'est pas respecté. Pas de grève générale dans les charbonnages belges BRUXELLES, 19 janvier. Un accord a été conclu entre patrons et ouvriers mineurs au sujet de l'application de la semaine de 45 heures. Tout danger d'une grève générale dans les charbonnages serait donc écarté. wvw> M. Bastid parle au dîner de YUnion des Industries exportatrices La dévaluation de-franc a été opérée, affirme-t-il, dans l'intérêt de notre commerce Paris, 19 janvier. M. Bastid, ministre du Commerce, a prononcé ce soir au diner de l'Union des Industries Exportatrices une importante allocution, dont voici les principaux passages Nous avons conscience de ne pouvoir demander aux producteurs français les sacrifices qui dépendent d'eux pour reprendre plus largement pied sur les marchés extérieurs que si de notre côté. nous Gouvernement, nous manifestons une activité renouvelée en matière de traités de commerce. Certaines négociations sont engagées. d'autres vont l'être. Nous offrons, ou nous offrirons, aux pays étrangers des avantages oui ne seront consentis que contre des avantages équivalents. » Le ministre a ensuite assuré les exportateurs de la sollicitude du Gouvernement et il s'est exprimé en ces termes au sujet du lien qui existe entre la politique monétaire et la politique commerciale nui la cracruèle. la gerce et favorise l'aioarltion de' rides. Le chaque soir avec une hu!!e véf*tiile- D"ns l'Rnthong'a'mo du départ Pt dons 'i hft»» de faire vo'r le .uir'à votre bel neuf, n» rw» ci soi"» qui ont »>'us prérleilx qu» iimut» pour conserver la beauté de votré teint. Claude Jakt. Deux parures de lingerie en deux patrons sealement X» 561, comprenant dans une même pochette COMBINAISON, CHEMISE et Cl'LOTTE. Cette parure est garnie de festons de même ton ou de teinte tranchante. La combinaison, cintrée à la taille, est composée d'un corselet monté à la Jupe par des Jours roulés. Au milieu du devant, un médaillon brodé avec vos Initiales. Chemise assortle culotte aux côtés légèrement arrondis du bas, montée sur empiècement. Métrages chemise et culotte réunies, 3 mètres en 100 combinaison, 2 m. 30 en 100. Prix des trois patrons réunions, 3 tr. étran1 ger, 4 fr.. No 562, comprenant une PABURi compiéte. Le haut de la chemise et de la combinaison forme un étroit empiècement qui peut être exécuté de même tissu que l'ensemble, mais brodé de pois au plumetis, ou d'un tissu uni e ou fantaisie de teinte tranchante dans le bas de Jupe, un feston. Culotte moulant bien les hanches, terminée par un volant rapporté. Métrages chemise et culotte réunies, 2 m. 95 en 100 combinaison, 2 m. 23 en 100. Prix des trois patrons réunis, 3 fr. étranger, 4 fr.. Adressez les commandes, accompagnées des nom et adresse écrits très lisiblement et de 3 francs par mandat ou timbres-poste étranger. 4 francs par mandat au service des patrons de la Page Féminine de L'Ouest Ecialr, 11. boulevard des Italiens, Paris. Les commandes ne sont reçues que pendant huit Jours. Délai de livraison. une semaine environ. Aucun envoi n'est fait contre remboursement. Nous rappelons nos lectrices que seules correspondent à un patron les figurines au-dessus desquelles une mënt'on l'indique expressément. oooaeaoaMoaaaaeoooooaaa L'origine du mot Moutarde On peut le donner en cent, on peut le donner en mille, nul ne devwera. ft quelque savant ne le lui souffle. d'où la moutarde et principalement celle de Dijon a tiré son nom pourtant si répandu. Cette mine la moutarde très connue des anciens qui l'employaient dans leur cuisine s'appelait alors c fa rive » ou sévené ». Une circonstance aussi curieuse qu'inattendue vint la dé- baptiser. Voici comment En l'an 1382. la ville de Dijon nyant fourni mille hommes d'armes à Philippe le Hardi, duc de Bourgoan». celui-ci reconnaissant, accorda entre autres prlvlèges celui de porter ses armes avec aa propre devise Moult me tarde 9 c'eat-à-dire 11 me tarde beaucoup i\. Heureux et fiers, les Dijonnais flrent graver cette devise sur leur porte principale. Mais un accident survInt qui détruisit le mot c me ». en sorte qu'on ne lisait plus que 1 Moult tarde P. Ces deux mots restants sonnaient bien aux oreilles. On en Rt bientôt qu'un mot qu'on appliqua au célèbre condiment au'on prépare en si grande quantité Dijon. Et Voilà pourquoi la devise de Philippe le Hardi figure aujourd'hui sur toutes les NAISSANCE Nous avons le plaisir d'apprendre l'heureuse naissance, chez notre directeur général, M. Pierre Artur, et Madame, d'un neuvième enfant qui a reçu le prénom de Philippe. L'Ouest-Eclair s'associe à la joie de son directeur et de Mme Pierre Artur il leur exprime ses respectueux compliments, en même temps qu'il forme pour le bébé tous les meilleurs vœux de bonheur. CALVADOS ARRESTATION D'UN ESCROC DE GRANDE ENVERGURE Il avait opéré notamment à Falaise, Domfront, Argentan, Saint-Malo et dana la Sarthe Bayeux, 19 janvier. De notre correspondant L'Ouest-Eclair a relaté, à diverses reprises, les méfaits de Victor Métairie, coiffeur, demeurant à Saint-Frambault-sur-Pisse, qui recherché par plusieurs parquets pour vols et escroque ries avait toujours réussi à s'éclipser. C'est ainsi que traqué par toutes les brigades des environs, il était encore parvenu à exercer ses tristes exploits dans la région de Vire et de Condésur-Noireau et à s'enfuir vers ThuryHarcourt. Or il était bientôt signalé à Bayeux où les gendarmes se mettant immédiatement à sa recherche purent l'appréhender chez un commerçant de la localité. Il était encore en possession de la bicyclette dérobée à Mme Jehan lors de son passage au Plessis-Grimmoult. Les gendarmes de Bayeux n'ont pas perdu leur temps car on se trouve en présence d'un malfaiteur d'une certaine envergure. En effet. Métairie a opéré dans presque toute la France, peut-être même en Belgique. Il est officiellement l'objet des recherches des Parquets de Domfront, Argentan, Saint-Malo, Saumur. Auxerre. Il doit être également signalé dans la Sarthe et l'on peut craindre encore des surprises à son sujet. Métairie faisait en outre l'objet d'une contrainte par corps de M. le Percepteur de Caen et enfin pour couronner sa carrière il était recherché par le bureau de recrutement d'Alençon pour insoumission. ̃ C t sur cette dernière ville que le Parquet de Bayeux a dirigé sa belle capture. ÎAKMKBÀftMJ E PARIS SUCCURSALE A NANTES 27 rue du Calvaire nnexe à St-NAZAtRE 2 rue Vlllèt-Mortlr Aujourd'hui, 20 janvier St Sébastien Le soleil se lève à 7 h. 37 et se couche & 16 h. 27. La lune se lève a 10 h. 47 et se couche à 1 h. 4. Pleine lune le 26 a 17 h 15. Temperature maxima du 18 20° Pau. 19° Ajaccio. 17"; Perpignan. Bordeaux, Cazaux, 14» Toulouse, Angoulème, Rochefort, ClermontFerrand. Nantes, Rennes. 13° Le Bourget. Orléans. Chartres, Le Havre. Cherbourg. Brehat. Belle-Ile, Tours Royan, Marseille, Amibes. 12° Avord, Brest, Reims. Paris. Abbeville. 11° Calais. Valenciennes, Lyon. Nlmes, 10° Nancy. Dtjon, Montélimar. 8° Upaix. 5° Strasbourg. 41 Lanslebourg, 2°. Temperhture minima du 19 févrierBiarritz, 10° Belle-Ile. Bordeaux, Cazaux, Aîaccio. 9° Marseille. Nimes, Lyon Royan. Angouléme, 8° Le Bourget. Bréhat. Brest. Rochefort. Montélimar, Antibes. 7°; Avord Nantes. Cherbourg. Le Havre. Pans, Chartres. Strasbourg 8° Orléans. Nancy. Dijon. Reims. Tours, Toulouse. Perpignan. 5° Calais, Abbeville. Besancon, 4°; Valenciennes, 3° Upalx, 2o Lanslebourg, 1°. Evolution probable. Les perturbations venant du large continuent a se succéder assez rapidement sur notre pays. Une zone de mauvais temps. qui couvrait à 7 heures la majeure partie de la France extrême nord et littoral méditerranéen exceptés se déplacers vers l'est-nord-est et ne laissera demain matin des résidus que dans les Pyrénées et le sud-est Elle sera suivie d'une zone de temps Instable, à éclaircles et à averses, qui débute déjà dans le nord-ouest et qui est accompagnée d'air plus frais. Probabilités pour la journée du 20 janvier Etat du ciel. Dans les régions Nord, Parisienne. Nord-Ouest. Bretagne, nuageux à très nuageux avec éclaircies et queliues averses. Vent». Secteur Ouest modéré et Irrégulier. Coup de vent d'Ouest & NordOuest. Température. Maximum en baisse de 2 à 4° par rapport à la veille. 1 M. H" S. H" dm dm Cherbourg 63 Oranvllle 112 Saint-Malo 102 Salnt-Brleuc . 95 915 Siimpol 86 84 Lorlent 42 Vannes 42 2352 Sables-d'Olonne. 43 La Rochelle •t-Mazalre 9-5 44 L'EXPOSITION DE 1937 La pose de la première pierre du Pavillon de la Bretagne a donné lieu à une cérémonie solennelle Trois orateurs M. Louis AUBERT, président du Comité Breton M. Edmond LABBÉ, commissaire général de l'Exposition M. GASNIER-DUPARC, ministre de la Marine, ont célébré à l'envi la gloire de notre province Paris, 19 janvier De notre rédaction parisienne. Le crachin qui, depuis quarante-huit heures, mouille le sol parisien et obscurcit le ciel de la capitale, a fait place ce matin vers 10 heures à une bise froide qui faisait claquer brutalement le drapeau tricolore flottant au bord de la Seine, audessus de l'emplacement même, sur lequel s'élèvera le pavillon breton à l'Exposition de 1937. C'était aujourd'hui la pose de la première pierre d'un pavillon dont nous avons donné toutes les caractéristiques. Comme toujours, depuis le début d2 l'Exposition, le Comité breton qui fut le premier constitué le premier dont les plans du pavillon furent présentés, le premier dont les plans furent acceptés, a été le premier des cômités régionaux à célébrer la pose de la première pierre de son pavillon. Cette cérémonie a été célébrée devant de nombreuses personnalités qui avaient tenu à assister à la première manifestation tangible de l'activité bretonne à l'Exposition de 1937. Nous avons remarqué notamment M. Gasnier-Duparc, ministre de la Marine, qui présidait le commandant Balat, son officier d'ordonnance M. Aubert, président du Comité breton MM. Le Trocquer, sénateur, ancien ministre Gautherot, sénateur Trémintin, Morane, Tristan, Peaet, Guernier, Desgranges, députés Petrhe, Charles Brun, Ancel et Rodel, du centre régional à l'Exposition Lesage, président de la Fédération des Sociétés Bretonnes de Paris et d* la région parisienne Beaufrère, directeur de La Bretagne à Paris Bahon-Rault et Roulaud, président de Chambre de Commerce en Bretagne Couarnon, architecte du pavillon breton Râteau, secrétaire général du Comité Breton, etc. Le premier, M. Aubert prit la parole et prononça à la gloire de la Bretagne le discours suivant LE DISCOURS DE M. AUBERT Monsieur le Ministre, Mesdames. Messieurs, Le Comité de participation de la Bretagne à l'Exposition des Arts et Techniques vous remercie très sincèrement du grand honneur que vous lui faites en venant aujourd'hui procéder solennellement à la pose de la première pierre de la Maison où doit, au cours des mois rayonnants que chacun attend, se manifester la vie intellectuelle et active d'un pays qui vous est, comme à nous particulièrement cher la Bretagne. Vous étiez plus que quiconque cher Monsieur le Ministre, désigné pour accomplir ce geste rituel. La Bretagne est, en effet, la noble terre féconde et rude qui fournit à la marine de guerre dont vous êtes. au Gouvernement, le chef très respecté, le plus fort contingent de ces vaillants marins, fierté de la France, et que le monde entier admire. c Mais, à nos yeux, à nos cœurs aussi, vous avez un autre titre. Vous êtes de chez nous, vous êtes au Sénat le représentant de l'un de nos plus beaux départements, et vous présidez tout à la fois à ses destinées et à celles de la ville si bretonne qui a mis en vous toute sa confiance SaintMalo. Et voyez combien s'accordent, s'harmonisent les hautes fonctions du ministre national et du magistrat municipal. Il suffit pour illustrer le rapprochement de rappeler que la vieille cité malouine, aux toits élevés qui jaillissent avec tant de pittoresque grandeur sous la pression de son corset de pierres grises, battu par des flots d'émeraude, est la patrie de Jacques Cartier, de Duguay-Trouin de Mahé, de La Bourdonnais et de bien d'autres grands découvreurs de terres nouvelles, qu'ils ont données à la France; la Patrie des légendaires corsaires de Robert Surcouf, la Patrie des Terreneuvas dont les ancêtres, bien avant les Conquistadors, connurent les rivages du nouveau monde, la Patrie, en un mot de tous ceux qui ont, depuis des siècles, manifesté sans arrêt leur intense amour pour la mer, leur passion jamais satisfaite pour l'aventure, et dont l'inlassable dévouement atteint, si souvent aux limites de l'héroïsme, et de cet esprit de sacrifice qu'il y a peu de temps vous exaltiez et magnifiiez en saluant, au nom du gouvernement et au nom de la France, les dépouilles des victimes glorieuses du Pourquoi-Pas ? ». La présence à vos côtés de M. le sous-secrétaire d'Etat nous aurait fait plaisir; si des engagements antérieurs ne lui ont pas permis d'être là, du moins s'est-il fait représenter par M. le Directeur de son Cabinet et nous l'en remercions vivement. M. GaanierDuparc d'une part, M. Blancho, d'autre LA MAQUETTE DU FUTUR PAVILLON DE BRETAGNE On reconnait le ministre de la Marine et M. Labbé, commissaire général de l'Exposition. M Pezet et M. le chanoine Des crantes, députés du Morbihan. part, évoquaient en notre esprit une image toute symbolique. Je les voyais tous deux entourant l'ensemble de la péninsule armoricaine d'un long ruban, qui épouserait les mille dentelures de nos côtes tourmentées de Saint-Malo à Saint-Nazaire, et dont ils auraient chacun une extrémité. C'était montrer ainsi bois au milieu, mer tout autour que la Bretagne que l'on dit individualiste et cloisonnée, forme au contraire un tout indissoluble dont les diverses parties s'associent toujours, quand, il s'agit d'exalter leua intégrale affection pour elle. Vous me permettrez maintenant de saluer M. le Commissaire général Labbé. Que de reconnaissance ne lui devons-nous pas de s'être un instant arraché à ses écrasants travaux, à ses formidables responsabilités pour venir nous apporter, à l'occasion de la pose d'une première pierre du centre régional, le précieux encouragement de son appui si bienveillant. Les Présidents de régions qui l'ont vu à l'œuvre et ont à cœur de suivre de leur mieux son laborieux exemple, savent ce que la France entière lui doit et lui devra pour l'œuvre titanesque qu'il a mission de réaliser et qu'il réalisera, soyons en surs, en heure et temps. Ces discours terminés, sous le feti des photographes, M. Gasnier-Duparc, prenant en main la truelle symbolique, scella la première dalle de granit, car nos architectes bretons ne s'étaient pas contentés d'une vulgaire meulière, mais avaient tenu à employer du roc breton. Cette traditionnelle cérémonie terminée, un déjeuner amical réunit, sous la présidence de M. Aubert, les personnalités qui avaient assisté à la pose de la première pierre du futur pavillon breton à l'Exposition internationale de 1937. Arts et Technique b. Si tous les participants à l'Exposition apportent à leur tâche le même cœur et la même ardeur que les membres du Comité de Bretagne, nous pouvons être sûrs que non seulement l'Exposition sera prête à temps, mais qu'elle connaltra un magnifique succès. Nous le lui souhaitons. P. Laureht. La Gadnase est plns économiqne Non seulement la Gaduase est plus agréable au goût. plus facile à digérer et tout aussi efficace que l'huile de foie de morue, mais encore elle est plus économique parce qu'elle se prend il. doses et que personne n'en laisse la moindre goutte dans le flacon La Gaduase, délicieux sirop framboisé, accroit l'appétit, favorise la croissance, purifie le sang, et fortifie petits et grands. Demandez de la Gaduase à votre pharmacien. MAYEKNE APRÈS LE DRAME DE L'ALCOOLISME D'ANDOUILLÉ Lever., 12 janvier de notre rédaation Ainsi que nous le disions hier, les constatations du médecin légiste ont permis à M. le Juge d'instruction de déclarer que la mort de la femme Carre était due à une cause naturelle. Il ne reste donc plus qu'à expliquer le désordre constaté dans la pièce où l'on trouva des débris de bouteilles et de verres brisés, des chaises renversées, le tapis de la table avait dû être tiré violemment et pendait jusqu'à terre. Le tout laissant croire à une lutte qui précéda la mort de la femme Carré. Personne, et nous moins que tout autre, ne peut avoir la prétention de discuter une décision qui repose sur les données de la science mais comment s'expliquer la posture dans laquelle fut trouvé le cadavre par MM. Hardy, Halouze, Marcadé et Lefaucheux ? Grâce au témoignage du propriétaire et du charpentier que les travaux de réparations l'immeuble avaient mis dans l'obligation de passer la nuit de jeudi à vendredi à la Gaufrière, dans le même appartement que les époux Carré, le mari put être mis hors de cause parce que rien ne fut relevé contre lui, malgré tout le zèle déployé par l'actif maréchal des logis chef Germain qui commande la brigade d'Andouillé et les gendarmes sous ses ordres. Pour expliquer le désordre de la pièce et celui des vêtements de la morte, il faudrait donc supposer que dans la journée de vendredi, alors que la victime se trouvait seule dans cette maison isolée, un homme resté inconnu se soit introduit à la Gaufrière comme s'introduisit, il y a quatre mois, dans une autre maison Isolée de Landivy, un misérable qui commit le crime abominable dont on se souvient encore et que l'on n'a pu découvrir. La suite de l'enquête jettera sans doute un peu de lumière sur les circonstances qui ont entouré la mort de Mme Carré. THEATRE MUNICIPAL DE RENNES Jeudi 21 Janvier, à 14 heures, unique Matinée populaire à prix réduits, places de 1 fr. à 9 fr. tout compris LA VEUVE JOYEUSE avec le concours de toute la troupe d'opérette. Samedi 23 soirée et Dimanche 24 matinée et soirée, 3 représentations de FRASQUITA, avec les danseurs Marilinda et José Kico. On peut retenir les places à l'avance par lettre, mandat ou téléphone 20-37 Rennes. LOIRE-INFEr L'ÉNIGME D'AVIGNON Le canonnier nantais serait en Tchécoslovaquie Avignon, 19 janvier. La Sûreté a reçu un télégramme venant de Tchécoslovaquie et adressé au canonnier Jean Journel à sa caserne de Fontainebleau, ainsi que deux lettres venant, de Prague et parvenues après son dé- part. Or, comme on sait que Journel avait, à Prague, une amie et qu'il est en possession d'un passeport général, il est vraisemblable qu'il a gagné en chemin de fer l'Italie par VintuniUsv puis la Tchécoslovaquie. CÔTES-SHORt Dans nne crise de folie, une jeune mère tue son enfant Powtritox, 19 janvier. De notre correspondant Cet après-midi, nous étions prévenus téléphoniquement, vers 14 h., qu'un crime venait d'être commis à Brelldy. Nous nous sommes immédiatement rendua sur les lieux, à quatre kilomètres environ du bourg de Brelidy, dans la direction de Saint-Laurent, nous quittons la route praticable et c'est A travers des chemins remplis d'ornières et de boue que nous arrivons à la ferme de Keravel. La maison sans étage est parfaite- ment tenue les meubles et le sol, tout est propre. Notre regard se fixe à l'arrivée sur un berceau d'enfant dans lequel git un bébé de cinq mois que la folie d'une mère vient de tuer. Quand nous arrivons à Brélidy, le pays est en émoi; c'est que depuis la veille, ces braves paysans viennent d'être bouleversés par un drame navrant. A notre arrivée à la ferme nous trouvons MM. Lautier, juge d'instruction à Guingamp; Geffroy, son gref-,fier Gauffenlc, lieutenant de gendar-' merie et les gendarmes de Pontrieux qui firent la première enquête et les gendarmes de Guingamp. La meurtrière. Mme Bellec. née Ma- ria Offret, 24 ans, est assise près de la table, calme en apparence, vêtue d'un sarrau gris et coiffée d'un béret de laine rouge. Les questions posées n'ont pas l'air de l'émouvoir et c'est par oui et non qu'elle répond aux questions du juge d'instruction. Voici d'abord, à peu de choses près, sa déclaration de samedi après-midi J'ai frappé mon enfant, ma petite Jeanne. âgée de cinq mois; à son arrivée, mon mari, ouvrier agricole, m'a demandé ce qui s'était passé; je lui ai répondu que l'enfant était tombée; lundi après-midi, vers 14 h. 30, j'ai pris l'enfant. je l'ai déshabillée. je me suis assise près du feu et je l'ai frappée 6 coups de poing. Voyant qu'elle ne mourait pas. je l'ai allongée sur la table et je l'ai étranglée. Puis je l'ai rhabillée et mise dans son berceau; ensuite je suis allée prévenir mon mari qui travaillait chez M. Le Peuch. à environ mètres de la ferme. s Sur les mobiles de son crime, la femme répond J'ai volé il y a quelques semaines un morceau de pain au bourg et l'idée d'être poursuivie m'a complètement affolée c'est la raison pour laquelle j'ai tué mon enfant. » L'autopsie qui aura lieu aujourd'hui déterminera exactement les causes de la mort du bébé qui. à notre avis, a succombé à une fracture du crâne. Mariés depuis quatorze mois, M. et Mme Bellec formaient un ménage très uni Mme Bellec est enceinte de trois mois et ce n'est que depuis le larcin qu'elle commit dans un geste probablement inconscient vers le 1" Janvier, que son caractère changea du tout au tout. Devant la gravité des faits, M. Lautier, juge d'instruction, a décerné con'tre elle un mandat d'arrêt et nous quittons la ferme devant un pauvre homme désolé, qui pleure sur le cada- vre de son enfant. La meurtrière a été conduite à la gendarmerie de Pontrieux en attendant son transfert à Saint-Brieuc. INQUIÉTANTE DISPARITION D'UN FACTEUR ET DE SES DEUX FILLETTES Auray, 19 janvier. M. Le Blé, facteur au bureau d'Auray, étant en .congé. la semaine dirnlère, devait re- prendre son service dimanche matin, et ne parut pas au bureau. M. Le Tréis, receveur, inquiet, entreprit immédiatement des démarches, notamment, près du frère du facteur, adjoint au maire de Saint-PierreQuiberon, chez qui on pensait qu'il avait pu se rendre. Or, personne ne l'avait vu dans cette région. Au cours des recherches, on apprit seulement, qu'il avait quitté son domicile, rue Georges-Clémenceau, dans la journées de vendredi, avec ses deux fillettes, Agées respectivement de 7 et 8 ans. Depuis cette date, on ignorait ce qu'il était devenu, et toutes les recherches furent vaines. Mardi matin, le receveur envoya quelqu'un au domicile de M. Le Blé, pour voir si, par hasard, sa mère, avec qui il hebitait, avait eu de ses nouvelles. La réponse fut négative, mais on apprit qu'il avait écrit sur un cahier toute la journée de jeudi. Le facteur envoyé par le receveur, trouva, en effet, sur la table un cahier, sur lequel il jeta un coup d'œil. La lecture des dernières lignes ne lui laissa aucun doute, il acquit la certitude que Le Blé avait mis fin à ses jours, entraînant avec lui dans la mort ses deux fillettes. Dans ce cahier, après avoir décrit sa vie et les souffrances qu'il endura durant son séjour à la poste de Guémené-sur-Scorff, c 13 mois, écrit-il, qui diminuèrent sa vie de 20 ans », l'infortuné facteur continue c Je vais disparaître a l'aurore due la vie, 47 ans arrivé à l'âge mûr, je n'ai pas de peine toute grande pour moi-même, c'est pour mes enfants. Adieu à ceux qui ont été bons pour moi et misère et maladie à ceux qui ont été méchante pour moi. J'ai écrit à M. le Keceveu en lui disant de donner tout mon bien à l'Orphelinat des P. T. T., & Vannes, livret de caisse d'épargne, pension, mobilier, etc. c J'aurais bien été faire mon testament chez un notaire, mais J'aurais été lui donner l'éveil de mon projet. Adieu. c Cependant, j'avais prie il. tâche d'élever mes enfants jusqu'à 20 ans, mais, inutile, peut-être qu'elles sont malades comme moi. M. Le Blé. mutilé de guerre, étal' fi -̃♦nme sérieux, très sobre, mais neufhstbérvque et d'un caractère sombre et très renfermé. Malade, il se croyait certainement plus atteint qu'il ne l'était a LA JOURNÉE A I/A4EOPOBT 9 heures 15 heures. Aéroport de Rennet-St-Jaccruer Baptêmes de Vair et votmoes aériens. CONFÉRENCES 17 heures. Salle du Beaux-Arts, rue Hoche Conférence dt 11. André Foulon de Vaulx, président de l'Association des Poètes Français sur l'Ame Bretonne dans l'œuvre d'Eugène Le Mouël. 18 h. 30. Boulevard de la Liberté, 26 Conférence de M. l'abbé Simonntau directeur des Œuvres Soclalu sur Les délègues du personnel. 20 h. 30. Salle des Fêtes de la Maison du Peuple Conférence de Af. Ouy Robert, professeur agrégé au Lycée de Saint-Brieue sur L'Histoire du Syndicalisme français de 1905 à 1921. FETES ET REUNIONS 17 heures. Maison du Peuple Réunton générale du Syndicat du Bâtiment. 18 h. 30. Assemblée générale annuelle de l'Association des Anciens Etudiants et des Amis de la Faculté de Droit, sous ta présidence de M. Georpea Phllippar, président du Conseil d'administration de la Compapnie des Messageries Maritimes, président du Comité Central des Armateurs de France, président de l'Académie de Marine, membre de l'Académie des Sciences Coloniales. BANQUETS le h. 30. Salons de l'Hôtel Duguesciens Etudiants et des Amie de La Facutté de Droit de Rennes. BALS 23 heures. Salona de la Faculté de Droit, tace St-Melaine Soirée dansante de l'Association des Anciens Etudiants et des Amis de la Faculté de Droit de Rennes. CINEMAS 14 h. 30. Au Royal Merluaae. 14 h. 48. Select La p'tite dame du wagon-lit. 14 h. 45 Sxcelsior Bach détective. 20 h. 30 A la Tour d'Auvergne Rose-Marie. 20 h. 41 Royal Merlu_. 20 h. 45. Setect La p'tlte dame du wagon-lit. 20 h. 45. Excclsior Bach détective. LA JOURNEE JUDICIAIRE 13 h. 30. Falaise de Justice Audience de la Cour d'Appel. HALL DE CI 'L'OUEST-ECLAIR » 16 h. 30 Informations. Expositions des plus récentes photographies de l'actualité mondiale. L'OFFICE DES VOYAGES DE cc L'OUEST- ECLAIR n Dans le hall du Journal Vous délivrera les billets de chemin de ter pour toute8 destinations, sans attente et aux mémes prix qu'aux guicheta des gares. Pour vos déplacements, consultez L'Office des voyages de i L'Ouest-Eclalr ». RIMA If AH créé pour votre acte, DlHlVlVnU contient de la figue pasteurisée pulvérisée Se digère Jtlenx JOURNÉES DENTAIRES DE RENNES Organisées par l'Ecole Dentaire de Rennes, ces journées scientifiques auront lieu les 5 et 6 février. M. Davy. recteur de l'Académie et M. le docteur Dufourmentel, professeur de chirurgie maxillo-faciale, ont accepté la présidence d'honneur de ce congrès. Les conférences et les démonstrations seront faites à l'Fcole de Médecine, au Centre anti-cancéreux et a l'Ecole Dentaire. L. CAILLER, Chirurgien Dentiste 5, rue de l'Horloge Tél. 43-42 LES CONFERENCES DE LA SOCIÉTÉ DESTRUCTION POPULAIRE DE RENNES Dimanche prochain 24 janvier, à 17 heures, salle des Beaux-Arts, 30, rue Hoche, sera donnée une conférence sur La crise économique, la crise du chômage et leur solution ». Le conférencier. M. Louis Grillet, examinant les crises de même nature du XIX- siècle 1810 et 1846 notamment montrera que toutes ces crises découlent d'une même cause générale. qu'elles se développent d'après les mêmes règles, et qu'elles se sont toutes résolues par le développement Intensif d'industries, travaillant jusqu'alors pour une minorité de consommateurs et qui de ce fait deviennent des industries de fabrication de produits d'une consommation plus générale. puis de produits de première nécessité. Jusqu'alors. toutes les crises ont abouti à une augmentation du standard de vie pour J'ensemble de la nation. Le développement de l'industrie de la construction pour l'habitation doit avoir la plus heureuse conséquence pour la résolut!on de la crise actuelle dans tous les pays. UNIVERSITÉ DE RENNES Conférences publiques de la Faculté des Lettres M. Collas, profeaseur, fera jeudi. 21 janvier, a 17 heurea, salle A. Le Bras, une conférence publique sur le sujet suivant La bataille des Satfrea. suadé qu'il avait communiqué sa maladie a ses enfants. M. Le Tréis s'est empressé de mettre la gendarmerie de notre ville au courant et des recherches sont actuellement en cours pour établir dans quelles circonstances le facteur Le Blé a Ole à écutiQtt w Iune»t proJM» LE KRACH DE LA SOCIÉTÉ DE PANIFICATION Deuxième audience Les débats, interrompus lundi soir ont repris hier. M. le bâtonnier de Goascaradec, représentant, avec Me Bourrut-Lacouture, les parties civiles, jointes, prend la parole. Il signale d'abord le diacredit que les prévenus tentèrent de jeter parmi les intéressés, sur leurs conseils. M. Marçais jurait qu'il' n'avait pas voulu cela et qu'il était prêt à réparer dana la mesure de sa fortune. Plusieurs se déclarèrent disposés à écouter ses propositions, mais il out se rendre insolvable en tnuvant acquéreur, à des prix suffisants, pour couvrir légalement le chiffre des hypothèques grevant ses immeubles. Du moins ces prix furent les prix officiels, ce qui ne veut pas dire qu'il ne tirât point de ces ventes un certain profit. Quelques jours avant l'audience du 21 novembre 1935, Il se débarrassa de cette façon de propriétés aux environs de Hédé, château, dépendances et bois. C'est pourquoi, aujourd'hui, les commettants du bâtonniers ont chargé ce dernier d'affirmer à la barre que, contre le sentiment du tribunal, cest M. Marçais qu'ils considèrent comme le plus coupable. S'ils n'avaient pas constaté sa présence aux conférences des démarcheurs, ils n'eussent point souscrit. M* de Goascaradec regrette que dans l'inculpation dirigée contre M. Marçais, s'il a été tenu compte du délit de mise en circulation d'actions non libérées du quart, il n'ait pas été retenu contre lui la souscription à l'aide de traites, délit pour lequel Thibault a été condamné. L'avocat croit pouvoir demander la requallflcation de ces manœuvre dolosives. La Cour peut condamner aussi bien l'un que l'autre pour délit de droit commun, d'escroouerie et tentative d'escroquerie, délits découlant des articles 13 et 15 de la loi du 24 juillet 1867. Car, à la base de toute cette affaire, il y a abus de confiance et escroquerie. La panification de Rennes n'a été tentée que pour voiler le déficit du Mans. Puis, dana la pensée du prévenu, l'affaire à créer à Nantes eût caché les pertes de Rennes et ainsi de suite Angers et Tours. C'était dépouiller Saint Pierre pour habiller Saint Paul. C'était encore faire la boule de neige. La panification du Mans est déjà malade quand, le 24 décembre 1931, est décidée la création de celle de Rennes, à qui on donne tout de suite une personnalité juridique autonome, avec des statuts tout preparés pour le notaire. Sans tarder, paraissent quelques articles de presse, puis des démarcheurs étrangers au pays, bien stylés, et en juin 1932 tout est prêt peur l'assemblée générale. Le capital sera de francs, comprenant de l'argent frais et les effets souscrits à présenter à l'escompte. D'octobre 1931 à juin 1932, l'argent afflue en billets de banque ou en bons de la Défense Nationale. Tous les fonds sont adressés au Mans et déposés, par la Société de PaniScation de cette ville, au Crédit Lyonnais. Malgré tout, le versement du premier quart n'a pu être réalisé. Ce n'est pas la faute des démarcheurs, de leurs réunions où les détenteurs de petits capitaux étaient conviés par cartes de convocation signées Marçais. M. Marçais payait ces agents a la journée. Il laissait dire qu'il avait souscrit francs, alors qu'il n'avait pas dépassé et versé seulement Les démarcheurs parlaient en public du patronage du ministre de l'Agriculture ou de celui de M. Guernier, ministre des de la garantie de l'Etat pour un capital pouvant aller jusqu'à 4 millions. On produisait des souscriptions fictives ou majorées, on promettait du 6 Interrogés devant le juge d'instruction, des démarcheurs comme Bazin et Chatelard ont déclaré, sous la foi du ferment, n'avoir rien fait que d'après les instructions de M. Marçais. Si l'une des dupes, enfin éclairée, demande des explications, M. Marçais l'envoie avec un billet à M. Thibault pour qu'on la rembourse. Sur l'application de l'article 15 de la loi du 24 juillet 1867, le Tribunal correctionnel de Rennes a trouvé qu'il s'agissait moins, dans cette propagande, de faits prétendument réalisés que de promesses. L'article 15 n'ayant pas défini le caractère de la publicité, il faut s'en tenir sur ce chapitre aux notions générales. Pourquoi la souscription s'est-elle faite par des effets de commerce acceptés par les cultivateurs ?. Pourquoi ne s'est-on pas borné à faire des appels de fonds ? C'est que, établis sur le papier de la Société de Panification du Mans portant la signature, non pas d un administrateur délégué de la société rennaise, comme M. Thibault. mais celle de l'administrateur manceau, feu M. Demeuré, ces eSets étalent destinés à être remis à l'escompte. au profit de la société du Mans. MO de Goascaradec rend justice aj Crédit Lyonnais qu'il a pu croire ur instant de connivence, mais dont la bonne foi lui a été démontrée. Au dernier moment, lorsque les cultiva- teurs alertés orirent une position me- nacante. M. Thibault essaya de récu- pérer une somme de fr. payée de cette façon aux établissement!» Lldon avec l'argent rennais, pour le compte de la Panification du Mans. Ce sont là les novations dont a parlé Mc Apnleson. La déclaration, sur le vereimnnt in- tégral du premier quart, était donc controuvée. Des cultivateurs s'étalent intéfrrelement libérés, d'autres valent versé moins d'un quart, et d'autres rien du tont. C'est alors que la So- ciété du M»ns prétendit, par une somme de francs, couvrir la différer^ un t'ers Tv>uvnnt. à la coti- dition d'aviser le débiteur, libérer luimême 1% créance d'autrui. Un tel ti- glement doit être réel et effectif. Or de cette opération, il n'est pas de trace pour ia sortie dans les registres du Mans, en faillite à la date indiquée par la lettre, où il n'est question de ce virement, non plus que dans les entrées de la Société de Rennes. Le 6 juin 1932, la Société du Mans auraitelle pu s'y prêter elle qui, en faillite, n'avait plus un sou ? Cette lettre a été fabriquée, dit le bâtonnier, pour les besoins de la cause, M. Marçais n'était-il pas le président de l'une et de l'autre ? n y a activité de correspondance et de versement. Et c'est cependant sur ce virement, que le tribunal a fondé sa clémence relative. M* de Goascaradec s'étonne que le tribunal ait pu débouter les parties civiles de leurs conclusions, sous prétexte qu'il n'y avait pas de relation entre les effets et la cause, entre le préjudice subi et la nullité de la Société. Le tribunal n'a voulu voir cette cause que dans l'emploi fautif des fonds. Et cependant, vu la non libération du quart de la souscription, la Société n'existe pas et ne peut avoir d'effets juridiques. M* de Goascaradec termine sa longue plaidoirie en déclarant n'avoir aucun doute sur la non passivité de M. Marçais en cette affaire. Il n'aurait jamais dû accepter ces présidences. Il est mal venu à feindre d'ignorer ce qui se passait, n doit supporter l'entière responsabilité. D'accord en cela, avec M* Appleton, M' de Goascaradec estime que le premier coupable est M. Marçais. Plaidoirie de Me BourrutrLaeoutnre M* Bourrut-Lacouture partage entièrement cette conviction. M. Marçaia a la responsabilité morale aussi bien que pénale. Il ne faut point lui attribuer un rôle effacé. C'est grâce à son influence que, fin 1931 et débuts 1932, se sont formées ces masses de souscriptions. Les campagnes étaient encore en pleine vigueur et cette prospérité factice de la veille. Elles s'émerveillaient de fortunes marchandes ou Industrielles si rapides à s'échafauder, près du dur travail de la terre. Comme elles avaient encore de l'argent, il était facile de leur faire rechercher dans une belle entreprise, un enrichissement plus rapide. n se trouva des gens qui leur parlèrent de la suppression de l'intermédiaire, dans la transformation de leur principal produit le blé, d'où idée d'une coopérative. Ce fut le moment psychologique, pour l'ancien député, homme très riche et influent. Celui-ci ne parla ni n'écrivit. Mais sa présence aux conférences, les mensonges et les manœuvres dont il laissa les démarcheurs éblouir les gens simples, les articles, les prospectus, l'exemple des souscripteurs et son propre exemple, les convocations signées de sa main, tout cela créa l'atmosphère favorable. Qui connait mieux que lui, les ressources de ces laborieux ? Il paie ses démarcheurs sur le pied de 15 En huit mois, deux d'entre eux se font chacun plus de francs. On draine ainsi une somme de Ir. M. Marçais aurait pu se ressaisir. Le 27 et le 28 novembre 1931, deux cultivateurs viennent le trouver. Ils t'étonnent de certains propos entendus et voici la réflexion àe M. Marçais. fiairant le danger c Est-ce que Thibault voudrait rembourser la Société du Mans ? Il y a abus de confiance chez ces deux hommes. L'argent recueilli, détourné de sa destination, a été remis au Mans. On trouve ici tous les éléments constitutifs d'un tel délit défini par l'article 408 du C. P. Les prévenus se sont mis dans l'impossibilité de représenter les fonds dissipés. Il n'est point nécessaire, pour que le délit existe, qu'ils en aient profité. Ils ont fait servir à autre usage ce qui était destiné à la Société de Rennes. Les premiers temps, on peut s'expliquer qu'ils considéraient l'argent confié comme les prodromes de la réalisation du projet primitif, Le MansRennes-Nantes-Angers qui nécessiterait un capital de francs. Le succès, lamentable au Mans, était moins médiocre t Rennes à cause de la notoriété de Marçais. Mais après 1931, les choses changent. Il ne s'agit plus que du sauvetage du Mans. C'est au Mans que se concentrent toutes les affaires. On a excusé cela en disant qu'au Mans existaient d'importants services de comptabilité. Il est plus croyable qu'on eut de suite l'idée de faire marcher Le Mans avec l'argent de Rennes et de solder ainsi les fournitures des établissements Lidon Car tout à Rennes semble abandonné de bonne heure. Le 16 janvier 1933, sur ordre de la police judiciaire, il est constaté avenue de Chardronnet, l'état lamentable des constructions. Vu l'heure tardive, M. le conseiller Poret, président de la 3' Chambre, renvoie à aujourd'hui la suite de la plaidoirie de M* Bourrut-Lacouture. Ce soir, à 17 heures, aux Beaux-Arts, conférence littéraire sur l'âme bretonne dans l'œuvre d'Eugène Le Mouël Aujourd'hui mercredi 20 janvier, salle des Beaux-Arts, rue Hoche, à 17 heures, M. André Foulon de Vaulx, président de la Société des Poètes Français donnera une grande conférence, avec interprétation de poèmes, sur L'dme bretonne dans l'œuvre d'Eugène Le Mouël. Avec son beau talent de conférencier, il saura faire revivre les plus belles pages d'Enfants bretons, de Fleur de blé reoir, de Bonnes gens de Bretagne et de tant d'oeuvres du poète qui a si bien compris sa province et chanté avec tant de force rame des gens et des choses de son pays. M. Davy, recteur de l'Académie présidera. Tous ceux qui aiment la Bretagne et la poésie se feront un devoir d'y assister. Entrée gratuite. Une quête sera faite après la conférence au profit du monument. RENSEIGNEMENTS JURIDIQUES Contentieux, procès attirée litigieuses, baux, loyers, uceesoiona, impôts, etc..Hurol ci renseignement4 cuure mandat de 8 t. 60 adressé à l'Uue-£cMir. L'A » PARAITRA DEMAIN ,j Le spirituel journal estudiantin fera. sa quatrième sortie demain; si voua l'apercevez, n'hésitez pas à mettre la main dessus, de peur qu'il ne vous échappe. l'auto qui s'est signalée à notre attention ces jours derniers, vous sera dévoilé dans l' A » demain, Vous lirez aussi dans l' Il A s un article sur d'éminentes personnalités rennaises Ces Messieurs en bordée, d'innombrables blagues, des poèmes, des études littéraires, les critiques de théâtre et de cinéma, des comptes rendus sportifs, etc. Achetez l' t A », surnommé par un de ses confrères Le papillon du Parnasse ». Ce numéro sera Illustré abondamment par des clichés inédits et sensationnels. IMMEUBLE DE RAPPORT à vendre a Rennes., 21 pièces, plein centre, avec fonds de meublé, très belle affaire enlever suite. Rapport net 8 GAUDIN, 41. rue Paul-Bert, RENNES. LA PLUS BELLE INDEFRISABLE Se fait au CENTRAL INDEFRISABLE. 28. rue PoullalnDuparc. RENNES. Tél. 49-09. !'• Maison spéciaffsée dans l'Indéfrisable de sécurité et. la recoloratlon lnnoHenslve. ON DEM. 1. F. DACTYLO aide-compta. ble. Ecr, HAVAS, RENNES, n* 600. ON DEMANDE VENDEUSE au courant pour la couture. Sér. référ. exigées. Ecrire HAVAS, RENNES, n* 601. GARCON BOUCHER SËïïSsâ; l'abattoir est demandé Boucherte Pivert Pontorson Téléph. 17. Référ. exigées.' L. OLLIVRY 3. rue de Brllhac. Haut place Mairie! RENNES Tél. SPECIALISTE DE "INDÉFRISABLE avec et sans B1 60, 8U fr. et 10U fr. Tête entière, tout compris. Dépositaire de Guerlain et PnéDei Vingt Salons pour Dames et Messieur». E. RIUOULUT, Place Mairie, RENNES. LOTERIE NATIONALE 12' TRANCHE. TIRAGE 26 JANVIER t-e dixième de billet 11 Ir. Les dix dixièmes assortis nu fr. Adressez-vous a M. LEROY, Tabacs 4. rue de Nemours, a RENNES Département de l'Ille-et-Vilaine Commune de LouvlEiic-du-Désert ALIMENTATION ES EAU POTABLE UU BOUHli AVIS DE CONCOURS Un concours est ouvert par la com. mune de Louvigné-du-Désert I -et-V . pour le choix d'un CONCESSIONNAIRE chargé de l'établissement et de l'exploi. tation du service d'eau du bourg. Les demandes d'admission au Concours devront parvenir sous pli le 10 février au plus tard à M. le Maire de Louvigné-du-Désert accompagnées d'une note indiquant les concessions similaires en exploitation, le lieu, la date, la nature et l'importance des travaux exécutés, et toutes référer ces techniques et financières. MAGASINS MODERNES RENNES JEUDI 21 JANVIER et Jours suivants QUINZAINE ANNUELLE DE o BLANC 0 DES ACHATS MASSIFS, FAITS EN TEMPS OPPORTUN, NOUS PERMETTENT DE VOUS OFFRIR UN STOCK IMPORTANT DE MARCHANDISES BIEN AU-DESSOUS DES COURS ACTUELS ACHETEZ. ACHETEZ du BLANC des MAGASINS MODERNES, à des prix que vous ne reverrez pas Le BLANC des MAGASINS MODERNES dont la qualité fait la réputation H INSTRUCTIONS CONTRE LA GRIPPE M. le Ministre de la Santé publique, en raison de l'épidémie de grippe qui sévit dans les pays voisins du nôtre, -charge M. le Préfet et MM. les Maires de recommander à la population de recourir à certaines précautions énumérées ci-après 1- Eviter les reunions. Il est avéré que les réunions importantes, dans des endroits confinés ou encombrés, offrent à la grippe des conditions extrêmement favorables à sa diffusion. On s'interdira, chaque fois que les nécessités de la vie le permettent, de s'enfermer dans les lieux fréquentés du public. Ces prescriptions sont particulièrement Impérieuses à l'égard des enfants en bas Age, des personnes Agées ou affaiblies. 2° Eviter le refroidissement, surtout après le travail; éviter le surmenace. 3° Antisepsie de la bouche et du nez brossage des dents deux fois par jour; lavages de bouche et gargarismes chauds à l'eau salée à 15 p. une cuillerée café pour un demi-litre d'eau, ou à l'eau oxygénée une cuillerée à café par verre d'eau; instillations nasales, deux fois par jour, d'huile goménolée à 10 p. 100. 4° Eviter les poussières, Le balayage à sec doit être proscrit en particulier dans tous les lieux de réunions. Lorsqu'en dépit de ces précautions, une personne ressent les signes avantcoureurs très connus frissons, courbature, fièvre, enchifrènement, sensation de chaleur à la gorge, elle doit, dans son intérêt, en raison des complications qu'une grippe même fruste peut occasionner, rester à son domicile et appeler un médecin. La déclaration de la maladie n'est pas obligatoire, mais les chefs de famille auront intérêt à la faire ou à la demander à leur médecin, car la désinfection des linges et des locaux est nécessaire. A l'Amicale des Bretons bretonnants de Rennes On nous communique Le comité de l'Amicale des Bretons Bretonnants de Rennes, réuni à l'Hôtel de Brest, son siège social, le vendredi 15 janvier, se joint énergiquement au grand mouvement de protestation qui se manifeste dans tous les milieux bretons vraiment conscients de leur dignité à l'égard de l'odieuse bande cinématographique Tout va tris bien, Madame la Marquise. Ce film fait suite à La Marpoton du Bataillon et à d'autres insanités issues d'un esprit de dénigrement systématique que nous ne pouvons admettre. Si Bécassine amuse les gens à nos dépens, les autorités responsables ne devront pas oublier le lourd tribut de la Bretagne pendant la guerre, qui doit lui donner droit au respect elémentaire. La Bretagne n'est pas ce pays rétrograde qu'on veut faire conn»!.tre au public. On a voulu matérialiser le mépris que l'on porte aux hacheurs de paille x, mais en les ridiculisant ainsi, on s'attaque à une industrie vitale pour eux le tourisme. Notre prestige moral veut qu'à la suite de cet acte, il y ait réparation. Les platitudes de Noël-Noël ne suffisent point, pas même des coups de ciseaux par ci, par là. Nous aurons l'occasion d'applaudir de tout cœur prochainement un geste sympathique de M. le Ministre détruisant par devoir cette ordure. Une attitude négligeante de sa part envers cette infamie donnerait au séparatisme le champ libre; aussi, soutenant moralement les bruyants protestataires de Paris, nous demandons d'urgence justice. 1 BACH DETECTIVE! âuiiiiiimiiiiiiiiiii Le ui des Policiers iiiiimiinmiimih' fait MOURIR de rire 1 1 Tél. L'ENCELSIOR Tél. ^llllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllN JEUDI 21 JANVIER, à 14 heures MATINEE A PRIX REDUIT PLACES DE 1 FRANC à 9 FRANCS tout compris LA VEUVE JOYEUSE Le triomphal succès de Mlle G. AVRIL-PARELLY et de M. Ed. DEMONTY, avec toute la Troupe Louez vos places. Téléphone 20-37. SAMEDI 23 Soirée, DIMANCHE 24 Matinée et Soirée, 3 représentations de FRASQUITA », avec les danseurs MARELINDA et RICO LOCATION VENDREDI. f£2i5 AU ROYAL f2=£5 g Avez-vous été voir 5 i MERLUS SE 1 g C'est un film de Marcel PAGNOL g cÏNÈ^AMIuÀrLA ^^tÔu^aÛvERGNeTl42^891 Exceptionnellement, Soirée aujourd'hui à 20 h. 45 Matinées Jeudi. à 14 h. 15 Dimanche, à 14 h. 30. Soirées Jeudi, Samedi, Dimanche, à 20 h. 30- x H n Location gratuite tous le» Jours, de 10 h. a 12 h. et de 16 h. à 18 h. Il EN VISITE CHEZ NOTHE CONFRÈRE L'A », LE PREMIER JOURNAL ou MONDE, JOURNAL DES ÉTUDIANTES ET ÉTUDIANTS RENNAIS Photo-cliché L'Ouest-Eclair ». La rédaction de l' cc A groupée dans cc son » bureau de la rue Saint- Yves. L'Ouest-Eclair en visite à l'A. Nous devions cette visite à nos éminents confrères du premier journal du Monde. par lettre alphabétique, c'est entendu, mais aussi par l'esprit et l'humour que ses collaborateurs dispensent deux fois par mois seulement, hélas! dans les douze pages de ce journal bi-mensuel, dont les Etudiants ne sont pas les seuls lecteurs à attendre impatiemment la parution. de toute la ville que l'A prête à L'Ouest-Eclair *ses ateliers, ses machines, pour lui permettre de paraître chaque jour. Comment dès lors manquer aux devoirs de politesse et de reconnaissance en oubliant d'aller, à l'occasion de la nouvelle année., présenter nos vœux à ceux qui assument la lourde responsabilité de présider à l'administration et à la rédaction du journal estudiantin. Avec une bonne grâce charmante et un esprit de confraternité dont nous les remercions ici, nos éminents confrères ont bien voulu nous recevoir chez eux, dans leurs bureaux de la rue Saint-Yves. Et je vous prie de croire que ce ne fut pas sans émotion que je pénétrais dans ce sanctuaire où le rédacteur en chef, un prénommé Maxime, dont le sourire découvrait des crocs bien faits pour mordre, avait réuni son état-major. Ainsi, je me trouvais en compagnie de l'élite journalistique du moment de cette phalange qui deux fois par mois met le feu à la ville c'est une image par ses potins et ses on-dit habilement présentés, par ses grands reportages toujours vécus, par ses critiques littéraires et artistiques toujours marquées au bon coin de. la satire correcte et amusante. Maxime, son éternel sourire narquois aux coins des lèvres fit les présentations. Et c'est ainsi que je connus les noms et que je serrai la main de Leroy, secrétaire général de la rédaction, du président Le Mazou, grand censeur de la maison, de Le Goff, préposé à la chronique scientifique ouand il n'est pas pris par l'organisation de service d'ordre et qu'il peut, sans danger pour la sécurité de la ville, troquer son bâton blanc pour le stylogranhe du chroniqueur, de Jean-Pierre Gasnier, un cumulard celui-là, puisque en dehors de ses fonctions administratives et de son rôle d'avocat stagiaire, il collabore aussi à la revue corporative des Etudiants en Droit L'Hermine. Devant d'aussi éminents confrères.. l'avais conscience de ma faiblesse. Heureusement, ils eurent la gentillesse de ne pas abuser de leur supériorité et c'est sans forfanterie aucune qu'ils me firent visiter leur installation. Sur 1 le bureau du patron j'apercevais mon rêve » une machine à écrire. Maxime qui avait traduit l'envie de mes regards me dit Eh oui. vous voyez, nous possédont même une machine à écrire que nous mettons à la disposition de nos rédacteurs. Quel luxe Oui. n'est-ce pas ? Il n'est du reste qu'un très léger ennui la machine à écrire ne fonctionne pas. Mais nous l'avons. Evidemment, c'est déjà quelque chose. Autre avantage l'A est rédigé par une équipe de collaborateurs si distingués que les titres n'y comptent pas. Le rédacteur en chef, les échotiers, les critiques, le gérant, sont tous placés sur le même plan. C'est pourquoi nous n'avons qu'un bureau, et dans ce bureau qu'un seul fauteuil. C'est le bureau, le fauteuil de tous. Entre nous, nos collaborateurs préfèrent travailler at home ». Pensez-donc, si l'un de nous réussissait à réparer la machine et à s'en servir, ça en ferait du bruit. » Quelques minutes plus tard, le prénommé Maxime et son fidèle second Leroy me font visiter ruche fiévreuse et bruyante les ateliers d'imprimerie de l'A. Oh bien sûr, je ne suis pas certain de ne pas avoir rencontré là des visages et des silhouettes connues, mais la présence des grands chefs du journal estudiantin mettait dans cette maison qui, dès l'entrée, m'avait semblé familière, un je ne sais quoi de nouveau et d'inattendu qui transformait les gens et les choses. Et je fus saisi de l'accent de sincérité avec lequel Maxime, qui prenait une épreuve à la brosse, cependant que Leroy, tel un typographe expérimenté, maniait des paquets de lignes et effectuait sur le plomb des corrections, me dit en me montrant tout l'atelier Voici notre marbre. nos linotypes. en bas, je vous ferai voir notre clichérie, nos rotatives. » Quelle magnifique organisation 1 Vous voyez, nous préparons le prochain numéro de l'A, celui qui paraîtra jeudi. » Un coup d'oeil rapide sur les épreuves me permet de me rendre compte qu'il contiendrait des échos fameux. Avec esprit, avec humour, quelquefois avec rosserie, mais jamais avec méchanceté, les collaborateurs de l'A font de la mise en boite ». Et je ne suis pas très sûr que certains de leurs prochains échos n'égratigneront pns nuelque peu le reporter qui se permit d'aller troubler leurs travaux. Comme tout le monde, jeudi matin, je m'empresserai d'acheter le premier journal du monde l'A. J. TH. Un neveu qui n'attend pas. vole une f orte somme d'argent à son oncle, la dépense et se f ait arrêter Le 9 janvier dernier, M. François Daniel, demeurant 154. rue de Brest, portait plainte, une forte somme d'argent environ francs lui ayant été dérobée chez lui. Une enquête fut ouverte et la Sûreté fit des recherches adroites. Les circonstances du vol permettraient d'affirmer que seul un habitué de la maison pouvait l'avoir commis. On limita le cercle des poursuites à l'entourage immédiat de M. Daniel. C'est ainsi que le Jeune Antoine Poussier, 24 ans, chauffeur-livreur, habitant cité Villebois-Mareuil, fut étroitement surveillé. Neveu du plaignant. il pouvait bien ne pas être étranger à l'affaire. Les agents Gautier et Tirel, du Service de la Sûreté, s'attachèrent à ses pas Ils ne tardèrent pas à reoiarquer les exagérations monétaires du chauffeur-livreur. Poussier menait grand train, trop grand train pour sa condition. Ce qui devait arriver, arriva. Poussier fut invité à venir expliquer l'emploi et la source de ses revenus anormaux. Hier donc il fut conduit à la Sûreté où après quelques hésitations, il avoua ce qu'on devinait fort bien. Effectivement il avait volé son oncle sans en attendre l'héritase. Il n'avait pas pris le gros magot d'un seul coup Pas si bête Par billets de francs et petit à petit il avait rassemolé le pactole qui lui permit d'améliorer son standard de vie. C'est ainsi qu'il s'était acheté des meubles, qu'il avait échangé en mettant la différence une vieille automobile contre une plus récente. Il s'était payé des voyages. Bref, il avait bien profité et quelquefois sagement d'une richesse malheureusement illégalement et malhonnêtement obtenue. Le chauffeur-livreur pourra grandement éditer sur les circonstances de la i ortun* LES GRANDS BALS DE L'HOTEL DE VILLE SAMEDI PROCHAIN BAL DE BIENFAISANCE DE L' A » EN FAVEUR DU SANATORIUM DES ETUDIANTS L' des Etudiants organise le 23 janvier, un grand bal dans les salons de l'Hôtel de Ville, au profit du Sanatorium des Etudiants. Le traditionnel entrain de la jeunesse universitaire, la verve des dix boys du Lily's Orchestra, la splendeur du cotillon doivent en faire une des plus joyeuses soirées de l'année. Le comité de l'A. a déjà reçu de nombreuses demandes de cartes d'entrée au bal. Il s'excuse de ne pouvoir y répondre, des circonstances exceptionnelles ne lui ayant pas permis d'organiser leur distribution comme par le passé, sous le patronage des principales personnalités rennaises. En conséquence, ces cartes ne pourront être mises en vente qu'à l'entrée du bal aux prix de 8 et 15 francs. Le 13 février bal des Sports Nous apprenons que le Bal des Sports 1937 aura lieu le samedi 13 février dans les Salons de l'Hôtel de Ville, sous la présidence d'honneur de M. Bodenan, préfet d'Ille-et-Vllaine, M. le général d'Arbonneau. commandant la place et M. Château. maire de Rennes. L'organisation de ce bal, dont les bénéfices, on le sait. doivent être repartis entre les différentes œuvres de bienfaisance pour l'enfance, a été confiée à un comité qui comprend tous les présidents des sociétés sportives rennaises. Nous pouvons dire, dès maintenant, que le c Lily's Orchestra », dans sa grande formation, divisée en deux orchestres qui joueront sans interruption, assurera au Bal des Sports 1937 un succès sans précédent. Nous donnerons prochainement tous détails sur l'organisation de ce bal. RENSEIGNEMENTS MILIIA1KE8~ ttecruiuoinnt oursin d'Incorporation, réloruie pensions. etc.. Sadreniier à Baoiu». Uun'»nts et la famille remercient bien slncèrament les personnes qui leur ont témnlsné de la sympathie l'occasion du décè? de Monsieur Alphonse GOURMAUX at en particulier celles qui ont offert der fleurs. Mm* et M. Beaup'.et. lnstl- ti'*»ur le fqmtll Ouprm^nd. B»flU"'•t. i,e Cm-»"nel. Frémy. DescMmns, r-MTcrrtpm hlMl s1nc*'P"nU toutp i** p*»non"» r^iTi leur ont témoigné un- si vive svm"n>Mi> k l'occasion du décès de leur cher petit ALAIN SAINT- Mme Paul Blllaz. M. et Mme Stéphane Noury. leurs enfants et leurs familles, remercient bien sincèrement toutes les personnes qui leur ont témoigné leur sysmpathie Il l'occasion du décès de Monsieur Paul BILLAZ COMZTi DfPARIEHEKTAI. Artisans maf/v aiavë si Altiste rva't rdue de Cl,udlençe, M* Carra, avoué, déclare se porter partie civile pour M. Hameiot, père de l'enfant. M* Naut, avoué, assure la défense de M. Momi. Jugement le 2 février. IL FAUT DES PREUVES A la requête de M. Delegge, proprié- taire au Pertre, M. Martin Louis, cul- j tivateur à la Nafterie, en 8t-M'Hervé, est prévenu d'avoir, le 29 novembre 1936, vers 14 heures, chassé dans un bois bordant la ferme de la Caillefer, en La Chanelle-Erbrée, bois appartenant au plaignant. A l'audience, les déclarations du garde sont en contradiction avec celles du prévenu et celles d'un témoin. Alors M' Carro, représentant la par- tie civile, déclare ne pas vouloir poursuivre l'affaire. Le tribunal, estimant que la preuve du délit n'est pas faite, acquitte Martin, et condamne la partie civile aux dépens, au bourg de Cornil'é; Perrier Maurice, charron au même l'eu. et Loury Jo seph, cultivateur à la Mai'larditre, en Cornillé, prévenus de chance sur autrui, le 15 novembre dernier, à la re- quête de M. Lemonnier, cultivateur au Pàtis, en CorniUé. ont été acquittés, la preuve du délit n'ayant pas été faite. M' Carro. avoué, plaidait pour la partie civile et M' Perdriel-Valssière. avocat à la Cour d'Appel de Rennes pour les prévenus. AU DISPENSAIRE ANTITUBER- CULEUX. n n'y aura pas de consultation demain jeudi 21 janvier, le doc- teur étant souffrant. CLASSE 1927. Les membres de la classe 1927 sont priés de se réunir ce soir, à 20 heures, au café LhermenierLetort, boulevard de Lavel. But de la réunion organisation du banquet. CLASSE 1918. Le banquet de la classe 1918 aura lieu le samedi 6 février prochain, à 20 heures, au café-restau- rant Gasnier, boulevard Pierre-Landais à Vitré, où les cotisations devront être versées au moins huit jours à l'avance. OUTRAGES A AGENTS. Dimanche soir, M. Louln, agent de ville à Vitré, étant de service au cinéme, fut prévenu que deux Individus en état d'ivresse causaient du scpndale dans un café. Se rendant en ce lieu, M. Louin invita les deux hommes à sortir. C'é- taient les nommés Gilbert Pierre, do- j micilié rue du Val, et Peltier Auguste, même lieu. Au lieu d'obtempérer à cet ordre, les deux Ivrognes insultèrent grossièrement le représentant ds l'ordre public, puis rentrèrent chez eux. Le lendemain lundi. 16 heures, rencontrant à nouveau l'pgcnt Louin, Gil- bert et Peltier l'insultèrent derechef. Gilbert, retrouvé le soir même en complet état d'ivresse, fut conduit au violon où il passa la nuit. Procès-verbal fut dressé aux deux hommes. LA OUERCHE-DE-BRETAGNE BAL DE LA MUSIQUE MUNICIPALE. Le deuxième bat de la Musie Municipale pour l'hiver 1936-1937 .2* lieu dimanche prochain, à 20 h. 30, dara les salons de l'hôtel Gandon. Ce bal. qui est ouvert à tous, aura un excellent orchestre sous la direc- tion de M. Laurent, chef de la musique. CONSEIL MUNICIPAL. Le Conseil municipal se réunira en séance publique vendredi prochain 22 Janvier, à Ordre du jour communication d'un mémoire préalable à l'ouverture d'une instance à engager contre la commune de La Guerche par M. Solnicka. LE PERTRE CONFÉRENCE SUR LES ASSURANCES SOCIALES, Jeudi prochain, à 19 heures, salle du Patronage, une causerie sur les assurances sociales sera faite. Un conférencier de Rennes donnera des renseignements pour les cas particuliers qui pourront être demandés. SAINT-M'HEKVB GRAVE ACCIDENT. Un pénible accident est survenu lundi à M. Ange Oranger, propriétaire cultivateur à i l'Orriere. M. Oranger se rendait au Moulin-Neuf. en La Croixille, avec sa voiture, conduire du blé et pour ramener de la farine. En route, considérant que la selle de sa jument était mal assujettie il descendit de voiture, pour la remettre, quand faisant un faux pas, il se brisa la jambe. M. le docteur Chevallier, de Vitré, lui a prodigué ses soins et lui a prescrit un long repos. Nous formons des vœux pour le prompt et complet rétablissement du MOUTIERS Un cultivateur est blessé par une ruade Lundi aoir, vers 17 h. 30, M. Lemarié Aman 35 ans, cultivateur au PetitChevroiais, allait chercher ses chevaux 1 dans une prairie afin de les faire rentrer à l'écurie. Il avait ouvert la barMère du champ et se tenait à l'entrée lorsque le dernier cheval en sortant lui décocha une ruade qui l'atteignit à la Jambe gauche à hauteur de la cuisse. Ayant beaucoup de peine à marcher, le blessé fut transporté à son domicile où M. le docteur Vallée, de La Guerche, fut appelé à lui donner ses soina; le praticien ne releva aucune fracture. M. Lemarié devra garder le lit quelques jours et un repos de 15 jours sera nécessaire à sa guérison si aucune complication ne survient. Espérons que cet accident n'aura pas d'autre suite et nous souhaitons prompt rétablissement à M. Lemarié, i 5, ni'A an-Jaurès. L'éclairage de la chaussée de Saint-Nicolas Nous avions annoncé que des travaux étaient en cours pour l'éclairage de la chaussée de Salnt-Nicoias. Ces travaux sont aujourd'hui termines; on a conservé deux lanternes surplombant le milieu de la chaussée à La Digue; les autres lampes centrales >..t été supprimées et remplacées par 13 lanternes placées sur le passe-pied de 1 la route. Cette idée excellente devrait permettre aux piétons de circuler sans danger sur l'emplacement qui leur a été réservé, une lueur suffisante éclairant la route elle-même, sans aucune gène pour les automobilistes. Mais. pour un motif que nous ignorons et qui pourrait être la surcharge de la ligne, l'éclairage est nettement insuffisant. Aussi devrons-nous attendre que l'Energie Electrique de la Basse-Loire ait remédié à ce manque de courant pour apprécier pleinement le travail réalisé à la demande de la municipalité de Saint-Nicolas. LES SEANCES DU PATRONAGE SAINT-CONWOION. La première des représentations des Deux OrpheUnes au patronage St-Conwoïon, a obtenu, dimanche dernier, un grand succès et nombre de personnes n'ont pu trouver de place. Rappelons que la deuxième séance aura lieu dimanche prochain, à 14 h. 30 Dores et déjà on peut retenir ses places chez M. Trochu, directeur de 1 Œuvre, rue de la Gare. EPAVE. Un vêtement caoutchouc d'enfant, a été recueilli sur la vole publique èt déposé au bureau de police où l'ayant droit pourra le récla- MESSAC LA FOIRE. La première foire de l'année, bien connue dans le pays, se t'endra au bourg de Messac, le qua- trième mardi de janvier, c'est-à-dire le 26. Cette foire, la plus importante de l'annee. est très suivie et attire dans la localité beaucoup de monde. Les agriculteurs et les marchands de bestiaux y viennent très nombreux et y trouvent de beaux animaux. SÉANCE THEATRALE DU TIM- BRE ANTITUBERCULEUX. Nous apprenons que la matinée théâtrale au profit du timbre antituberculeux qui devait avoir lieu le dimanche 31 janvier a été reportée courant février. Nous tiendrons ultérieurement nos lecteurs au courant de la date exacte de cette séance. MINIAC-SOUS-BECHEREL NECROLOGIE. Nous avons appris avec regret le décès, survenu Minac, dans sa 84' année, de Mlle Marie Gendrot. Dimanche dernier, au sortir de l'église, elle fut prise d'un malaise su- bit et décédait dans la soirée, vers j 20 heures, sens avoir repris connais- sance. A la famille de la vénérable défunte très sympathiquement connue à Mi-' n'ac, et en particulier à M. Constant Gendrot. son frère, maire de cette commune et conseiller général du canton de Bécherel, nous offrons nos bien vives condoléances. BREAL-SOUS -MONTFORT PAIEMENT DES ASSISTANCES DIVERSES. Le percepteur de Mordelles prévient les administrés que les assistances aux vie'llards. aux femmes en couches et l'encouragement national aux familles nombreuses devront être encaissés par les intéressés avant le 23 janvier 1837, dernier délai. CHIFFRE D'AFFAIRES. Il Mt rappelé que l'lmp0t sur le chiffre d'aSai- ras aéra perçu la mairie de Saint- Méen le Jeudi 21 courant toute la JourMONTAUBAN-DE-BRETAONE Un grave accident un passage à niveau UN JEUNE CYCLISTE A LE PIED ÉCRASÉ PAR UNE MICHELINE Un grave accident s'est produit hier matin, vers il heures, au passage i, niveau de la ligne Paris-Brest, situé sur le G. C. 28 bis allant de Montau- ban-de-Bretagne à Saint-Méen-le- Grand, à environ mètres de la gare de la Brohinière. Un jeune cultivateur, de Montauban, M. Henri Blanchet, 16 ans, roulait a bicyclette, sur le chemin de grande communication. Lorsqu'il fut il. hauteur du passage à niveau, il vit que les barrières étaient fermées. Au lieu d'attendre le passage des convois signalés, sans descendre de sa macnine, il poussa le portillon et s'élança sur les voies mais comme il s'était engagé, il entendit soudain le roulement rapide d'un train venant de Rennes. Le jeune homme crut être sauf en faisant un bond en avant. Par comble le malchance arrivait à cet instant sur la vole montante une Micheline dont le conducteur voyant soudain l'obstacle qui surgissait sur les rails, immo- bilisa son automotrice. Celle-ci avait cependant happé la roue arrière de la bicyclette tandis que le jeune imprudent tombait sous la Micheline donl une roue lui écrasa un pied. Un automobiliste de Saint-Méen-leGrand conduisit le blessé A Rennes, où Il fut hospitalisé la clinique SaintYves. Dans le courant de l'après-midi, l'amputation du pied dut être pratiquée. En fin de soirée, nous avons pris des nouvelles du blessé. Son état ne donne pas d'inquiétude. Nous souhaitons à la victime un rétablissement rapide. Les débris du théâtre et la tempête Nous avons dit hier comment on avait dû abattre une cheminée de l'ancien théâtre municipal que le vent menaçait de faire tomber. Un pan de mur donnant sur la place des Champs-Vauverts oscillait également de façon inquiétante. Hier matin, des barrières ont été dressées pour prévenir tout accident et la démolition de ce morceau va être entreprise, sitôt que la bourrasque sera calmée. SYNDICAT DES OUVRIERS DE LA METALLURGIE ET DES GARAGES. Il est rappelé aux adhérents du Syndicat que la réunion générale annuelle aura lieu jeudi prochain 21 courant, à 18 h. 30. Maison du Peuple. Ordre du jour Rapport moral et financier de 1936 désignation du bureau de 1937 l'application des 40 heures et divers. Communiqué. SERVICE DE NUIT DES TRAMWAYS BRETONS. A l'occasion de la soirée donnée le jeudi 21 janvier 1937, au Cinéma Celtie, à ParaméRochebonne par la Lyre Municipale, un service spécial de tramways desser- vira Saint-Servan et Saint-Malo. Départ de Saint-Servan à 20 h. 10 et de Saint-Malo-Saint-Vincent à 20 heures 30. Arrêts aux haltes habituelles des tramways. Retour assuré pour les deux villes à la fin du spectacle. FRANÇOIS LE CHAMPI. Dimanche dernier, la troupe Les Mouettes de Tourville » ont interprété avec succès la magnifique pièce de G. Sand. Le public, trop peu nombreux, a admiré le Jeu des artistes qui se sont surpassé. Félicitations à toute la troupe et à son régisseur, M. Hareng. Nous invitons le public à venir très nombreux dimanche prochain à la dernière représentation, qui aura lieu en soirée. Retenez vos places chez M. Jouanne, libraire, rue de Dinan. SYNDICAT DES EMPLOYAS. AGENTS, OUVRIERS MUNICIPAUX ET HOSPITALIERS DE SAINTMALO. Les membres du Syndicat sont priés de bien vouloir assister il. l'assemblée générale qui aura lieu il. la Maison du Peuple mercredi 20 jan- vier, il. 17 h. 15 très précises. La présence de tous est Indispensa- ble, vu l'ordre du jour très chargé. Communiqué. Convoi mortuaire 10 h. Mme Guihanat, avenue Moka; égllsl N,-D. Auxlllatrlce; cimetière Salnt-Malo. COMBOURG Une sérieuse collision entre une auto et un camion Une blessée Hier après-midi, vers 14 h. 30, un 1 sérieux accident de la route s'est pro- duit au lieu dit Les Landelles s sur la route de Dol, à 3 kilomètres de Combourg. M. Edouard Lognoné, plombier, pla- ce de la Mairie à Dol-de-Bretagne, se dirigeait en auto vers Rennes, via Combourg, il était accompagné de sa femme. Près de Combourg, aussitôt après avoir traversé le passage à niveau des Landelles, M. Lognoné fut soudainement aveuglé par le soleil et n'aperçut pas un lourd camion qui venait sa rencontre. Le chauffeur du camion, voyant le I danger, appuya sensiblement à droite, mais cependant une collision brutale se produisit. Dans une terrible embardée, la conduite intérieure de M. Lognoné fit un téte-à-queue et me coucha dans le fossé droit de la route, l'avant de la voi- ture vers Dol. Le camion s'arrêta sur le milieu de la chaussée, à 35 mètres du lieu de la rencontre. Les témoins de l'accident ne portèrent au secours des occupants de la conduite Intérieure, mais déjà ceux-ci s'en retiraient par leurs propres moyens. Mme Lognoné, fortement commotionnée, portait en outre de légères blessures à la face. La blessée fut reconduite à son domicile, alors Que M* Blouet, huissier arrivait sur les lieux pour procéder aux constatations La voiture de M. Lognoné est hors d'usage. Le camion, appartenant à M. Busnel, minotier à La ChapelleChaussée, a, lui aussi, subi de graves dégâts. SOCIETE DE SECOURS MUTUELS. Tous les membres de la société de Secours Mutuels de Combourg sont priés d'assister aux obsèques de leur camarade M. Louis Horvais. Rassemblement vendredi à 9 h. 45, place de l'Eqllse, autour du porte-bannière M. Peuvrel. DOL-DE-BRETAGNE SPECTACLES, Cette semaine, au Cinéma du Patronage Salnt-Samson Le comte de Monte Cristo, d'après l'œuvre d'Alexandre Dumas. Au Cinéma des Familles Pasteur et Bonne chance, avec Sacha Guitry. A LA PERCEPTION. Le personnel de la perception étant sensiblement réduit par nécessités de service, jeudi 21, vendredi 22 et samedi 23 janvier, les personnes qui ont des opérations à effectuer dans ce bureau sont priées de les reporter au lundi 25 janvier. TINTENIAC CONSULTATION DE NOURRISSONS. Aujourd'hui, troisième mercredi du mois, jour de la foire mensuelle, aura lieu la consultation habituelle des nourrissons. Cette consultation aura lieu à 14 heures, à la mairie de Tlnténiac. ASSISTANCES. Rappelons aussi l'urgence pour toutes les personnes touchant soit l'assistance aux vieil- lards, soit l'assistance aux femmes en couches, soit l'encouragement aux familles nombreuses, d'avoir à ee pré- senter aujourd'hui à la perception de Tinténlac pour toucher leurs mensualités, les états devant être retournés incessamment à la Recette principale. LE TRONCHET ASSEMBLÉE ANNUELLE. L'Assemblée annuelle du Tronchet aura lieu le dimanche 7 février. Les forains sont priés de bien vouloir faire retenir leur emplacement. Aucun droit de place ne sera perçu. NOZAY REPRESENTATION AU PATRONAGE. Nos artistes du patronage se sont remis au travail depuis quelques semaines déjà et doivent nous présenter dimanche 24 courant, en matinée à 3 heures, dans leur superbe salle de la rue de la Gare, une superbe représentation de La Femme aux yeux ouverts, drame en 9 tableaux, tiré par M. l'abbé Pineau du célèbre roman de Pierre L'Ermite. Les principaux rôles masculins de cette magnifique pièce seront tenus par MM. Théophile Renard. Prosoer Provost et Paul Bouteiller. Les rôles si Intéressants de tante Cécile, Rolande, Mme et Mlle Maud seront joués par les artistes habituellement chargés des rôles féminins. au patronage, et dont tous les habitués de nos séances récréatives ont pu depuis longtemps apprécier le fin talent. MM Pierre Friou. Alex Leguippe, Blouin. Ch. Gauthier, etc., etc. avec leur talent habituel, se chargeront d'amuser les spectateurs pendant les entr'actes. Le piano d'accompagnement sera tenu par Mlle Méraud. NORT-SUR-ERDRE DÉCOUVERTE D'UN CADAVRE Mardi matin, vers 7 heures, le cadavre de M. Leclaire Pierre, journalier, a été découvert sur le champ de foire de cette localité. Le docteur Clenet, de Nort-sur-Erdre, a constaté le décès dû à une congestion. INFORMATIONS DIVERSES A propos de la taxe unique de 6 °!o sur le chiffre a affaires • JlfJtf. F. Saudubrav et P. Ooussu, dé- putés de la Sarthe afin de répondre au vœu exprimé par de nombreux commerçants donnent ci-dessous les modalités que de 6 sur le chiffre d'affaires TAXE UNIQUE SUR LE CHIFFRE D'AFFAIRES LOI DU 1" JANVIER 1937 Cette loi stipule Art. 2. Il sera institué sur les affaires au sens des dispositions des articles 1" à 4 du décret de codification du 27 décembre 1934 11 En ce qui concerne les ventes, une taxe unique de 6 2 En ce qui concerne toutes autres opérations, une taxe de 2 Art. 3. i 1. La taxe unique globale de 6 sera perçue a Sur les ventes effectuées par un producteur ou fabricant soit à un commerçant, en vue de la revente en l'état, soit à un consommateur b Sur les importations faites destination, soit d un consommateur, soit d'un commerçant, en vue de la revente en l'état, à moins que ce commerçant prenne la qualité de producteur dans les conditions déterminées à l'article 12. 1 2. Sont assimilées des ventes à la consommation al Les ventes faites pour l'exercice de sa profession artisanale, à un artisan, remplissant les conditions prévues par l'article 23 du code général des Impôts directs b Les ventes faites a toua les assujettis à la taxe de 2 c Les livraisons, par un producteur, d'objets ou de produits de sa fabrication, a titre de primes, a l'occasion de ventes de produits non fabriqués par lui; d Les ventes aux coopératives de consommation et groupements d'achat. 1 6. Devront prendre la qualité de producteurs pour la totalité de leurs ventes les commerçants qui seraient imposables pour un montant annuel de ventes supérieur à franca. Pourront, dans des conditions définies à l'article 12, prendre la qualité de producteurs. ies commerçants qui achètent ou qui Importent des produits pour les revendre directement ou par l'intermédiaire d'autres commerçants ayant euxmêmes pris la qualité de producteurs, à des fabricants ou en vue de l'exportation. 17. La taxe unique globale de 8 devra faire l'objet sur facture, d'une mention ainsi libellée Taxe perçue pour le Trésor ». ART. 5. Seront soumis a la taxe de 2 2 Les ventes la consommation effectuées par les redevables définis au 4 4 de l'article 3 de la présente loi susceptibles de bénéficier du régime forfaitaire prévu en matière d'impôts sur les bénéfices Industriels et commerciaux et achetant la plus grande partie de leurs matières premières des commerçants qui les ont acquises libérées de la taxe de 8 ainsi que les ventes de produits fabriqués par des commerçants lorsque celles-ci ne douassent pas francs. ART. la. Pour la période transitoire, la taxe ancienne sur le chiffre d'affaires concernant les stocks existant au 31 Janvier 1937 et exigible lors de la vente des produits sera recouvrée comme suit .1* Chez les commerçants soumis au régime au paiement mensuel, au taux de 2 pour les détaillants, 4 pour les grossistes sur la valeur des stocks au 31 janvier 1937 la taxe sera payée au fur et mesure des ventes Jusqu'à ce que ces ventes atteignent la valeur du 2° Chez les commerçants soumis au forfait. par versement des trois douzièI mes du forfait annuel pour les détaillante, des six douzièmes pour les grossistes. Cette disposition résulte d'un amendement déposé par nous il la séance du 27/11/1936. Lee stocks existant chez les producteurs donneront droit au taux de 2 à une imputation sur les sommes dont ces producteurs seront ultérieurement redevables au titre de la taxe unique. A cet effet. les Intéressés, il l'exception des commerçants soumis Jusqu'Ici au régime forfaitaire, denoat rMMttr* dis» le délai d'un mois une déclaration de leurs stocks Suivant ces textes, la loi devra s'appliquer comme suit I. Grossistes Les grossistes pourront ou prendre la qualite de producteur, en vertu du paragraphe 6 de l'article 3 Dans ce cas ils devront demander, la Direction ne8 Contributions indirectes dont Ils dépendent, un certificat déclarant qu'ils rentrent dans la catégorie des producteurs, adresser ce certificat A tous leurs fournisseurs et recevoir leurs marchandises sans taxe. Par contre, pour leurs ventes, Ils devront Soit ajouter, sur leurs factures. la taxe de 6 sous la rubrique Taxe perçue pour le Trésor » pour toutes les ventes faites par eux à un commerçant en vue de la revente en l'état, ou à un consommateur soit facturer sans taxe, pour toutes marchandises à destination d'un producteur, sous la condition que ce producteur leur envole un certificat de la Direction des Contributions indirectes dont il dépend, attestant qu'il est producteur. Le grossiste qui aura ainsi pris la qualité de producteur devra faire, en conformité de l'article 12. à la date du 31 Janvier un inventaire de ses stocka établi à ses prix de vente et remettre celui-ci dans le délai d'un mois. à l'Administration des Contributions Indirectes dont il dépend Sur le montant de cet inventaire, Il aura droit à une ristourne de 2 Il retiendra le montant de cette ristourne par imputation sur la taxe de 6 qu'il aura Dayer mensuellement partir du 1 février Ou prendre la position de commerçant. Dans ce cas. ils devront recevoir de leurs fournisseurs toutes les marchandises, taxe acquittée c'est-a-dlre que sur les factures de leurs fournisseurs sera ajoutée la taxe de 6 sous la rubrique Taxe perçue pour le Trésor Ils n'auront, eux-m*mes. aucune taxe à ajouter à leurs ventes. Le grossiste qui aura ainsi pris la position de commercant devra faire, en conformité de l'article 12. à la date du 31 1anvler. un Inventaire de ses stocks établi ses prix de vente et remettre celui-ci, dans le délai d'un mois. a l'Administration des Contributions indirectes dont il dépend. Il sera redevable, sur le montant de cet mventafre, d'une taxe de 4 cette taxe devant être payée au fur et a mesure de ses ventes Jusqu'à ce que celles-ci atteignent la valeur de ses stocks II. MAGASINS DE détail rABRiouAinr TOUT OU PARTIE DES ARTICLES qu'ils vendent. La loi prévoit pour les magasins de détail fabriquant tout ou partie des articles qu'ils vendent deux catégories La première. Les magasins faisant un chiffre d'objets transformés par eux sunérleur à francs. Ils devront, dans ce cas. prendre obligatoirement la qualité de producteur. en conformité du paragraphe 6 de l'article 3. La deuxième. Les magasins faisant un chiffre d'objets transformés par eux inférieur & francs Dans ce cas ces magasins pourront Soit prendre la qualité de producteur, en vertu du paragraphe 6 de l'article 3 soit prendre la qualité A commerçant. en vertu du paragraphe 2 de l'article 5. Ci-dessous, les obligations auxquelles la loi astreint chacune de ces deux catégories ̃ Première catégorie. Magasins de détail faisant plus de francs de vente d'objets fabriqués par eux et devant prendre la qualité de producteur. Ces magasins devront recevoir de leurs fournisseurs toutes leurs marchandises exemptes de la taxe. Pour cela. ces magasina demanderont à l'Administration des Contributions Indirectes dont Ils dépendent des certificats attestant qu'ils rentrent dans la catég le des producteurs. Ces certificats seront envoyés par eux à tous leurs fournisseurs pour leur permettre de recevoir leur» nwgriinfliM» M* taxa. Par contre, ces magasin» paieront une [ taxe du 6 sur toutes leurs ventes. aous déduction cependant d'un abattement ce 25 sur toutes leurs ventes au détau. En vertu de l'article 12, ce* magasin» devront faire un inventaire au 31 Janvier. Cet inventaire, établi à leurs prix 1 de vente sera remis dans le délai d'un, mois a l'Administration des Contrlbutlone indirectes. Sur le montant de cet inventaire, Cas magasins auront droit une ristourne de 2 Cette ristourne leur sert réglés par imputation sur la taxe de 8 qu'ils auront à payer sur leurs ventes 6 partir du 1" février. Deuxième •catégorie. Magasins de détail faisant moins de franca de vente d'objets fabriqués par eux. Cea magasins peuvent prendre, en vertu de l'article 3, paragraphe 6, li qualité de producteurs. Dans ce cas. leurs obligations seront les mêmes que celles de la première catégorie examinée ci-dessus. Cth magasins peuvent prendre, au contraire, en vertu du paragraphe 2 de l'article 5 la Qualité de commerçants. Dan* co cas, Ils recevront de leurs fournisseurs toutes les marchandises nécessaires à leur commerce, taxe acquittée, c'est-à-dire que sur toutes les factures de leurs fournisseurs figurera en sus .du prix une taxe de 8 sous 18 libellé Taxe perçue pour le Trésor Les ventes faites par ces magasins leur clientèle e-ont, par contre. exemptes de la taae à l'exception dea ventes des objets qu'ils auront fabriques, qui seront soumises à la taxe de 2 en vertu du paragraphe 2 de l'article 9. Ces magasins devront faire, en con»formlté de l'article 12. un inventaire au 31 Janvier. Cet Inventaire. établi aux prix de vente, devra être remis, dana le délai d'un mois, à l'Administration des Con»tribut Ions indirectes. Si un magasin de détail, fabriquant moins de francs d'objets fabriqués par lui, a pris la qualité de producteur. 11 aura droit, sur cet lnventaire, une ristourne de 2 cette ristourne étant réglée par imputation sur la taxe de 6 qu'il aura à payer à partir du l– février. Si ce magasin de détail, faisant moins de francs de vente d'objets fabriqués par lui, a pris, au contraire, la qualité de commerçant. il devra, sur son inventaire, payer une taxe de 9 cette taxe devant être payée au fur et à mesure des ventes Jusqu'à ce que celles-ci atteignent la valeur du stock. III. MAGASINS DE détail acheta» TOUTES LEURS MARCHANDISES ET NE FAISANT AUCUNE TRANSFORMATION A partir du 1" février, ces magasin* recevront toutes leurs marchandises, avec, sur les factures de leurs fournisseurs. une majoration de 6 mention. née sous la rubrique Taxe perçus pour le Trésor », à moins que leurs fournisseurs, ayant eux-mêmes payé cette taxe, n'aient pas la facturer nouveau. Ils n'acquitteront eux-mêmes aucun* taxe sur leurs ventes. En vertu du paragraphe 1 classe ̃ M. Prln3ault. en remplace- ment de M. le commissaire en chef de 2' classe Borius. Au grade de commissaire princtpal lwtour. ancienneté M. Marty. en rempl. de M. le commissaire principal Pnngault. Au Drade de commissaire de 1" classe 1*r tour, ancienneté M. Berthemet, en rempl. de M. le commissaire de 1™ cl. Merty, promu. DIRECTIONS DE TRAVAUX Ont été promus et nommés dans le corps des Ingénieurs des directiona de travaux des constructions navales pour compter du 19 Janvier Au grade d'ingénieur de 1" classe il" tour, ancienneté M. Bougaran, .nu. de 2. clecse. Au grade d'ingénieur de 2e classe choix, A Indret. M. Averty. A. T. principal de 1'" classe, port matriculaire Brest. B. M. R. Lorient. Nouvelles diverses Les nouvelles promotions daus l'état-major générale Le vice-amiral Le Bigot Le contre-amiral Le Bigot qui vient d'être promu vice-amiral, né à SaintBrieuc en 1833, fut nommé aspirant le 1" avril 1901. Il lit campagne de guerre au Maroc en 1907. En 1915, Il fit partie de la brigade de fusiliers-marins commandée par l'amiral Ronarch. Il prit, en 1916. le commandement de la canonnière contre sous-marins Railleuse. Entré à l'Ecole Supérieure de Marine en 1920. diplômé le 2 Janvier 1921. il fut appelé à l'état-major de la Marine. Commandant du contre-torpilleur Léopard. en 1925 chef-adjoint du cabinet du ministre de la Marine, 11 fut en 1929 appelé au commandement du croiseur Colbert. Choisi par M. Paul Doumer. en mal 1931. pour faire partie de aa maison militaire, le contre-amiral Le Bigot a conservé les mêmes fonctions auprès de M. Albert Lebrun Jusqu'en '.936 où il s'est vu confier le commandement de la divtslon d'instruction en escadre de la Méditerranée. Le vlce-amirai Le Bigot, commandeur de la Légion d'honneur, croix de guerre. est titulaire de plusieurs citations. Il vient d'être nommé commandant en chef des forces navales d'ExtrêmeOrient. Le vice-amiral Uensoui Le vce-amlral Gensoul, né à Montpellier, en 1880, fut nommé aspirant le 1" août 1900. Pendant la nuerre il commanda le torpilleur Fanfare, dans la zone des armées du Nord. Chef Q'Etat-MaJor de division en 1922, Il fut appelé au commandement du torpilleur Lansquenet en 1924. puis du culrasré Brelagne^en 1927. capitaine de pavillon du vice-amiral Durand-Viel à bord du eu rasgé Provence en 1929. puis chef d'Etat-Major de la 3" région maritime en 1931. Il fut désigné pour remplir les fonctions de sous-chef d'EtatMajor de la marine en 1932, poste qu'il occupa dans le grade de contre-amiral Jusqu'en 1934. Il fut alors nommé au commandement de la 3' escadre légère et avait son pavillon sur le croiseur Foch. Le vice-amiral Qeneoul en commandeur de la Légion d'honneur. Le vice-amiral Uldive Le vlce^mlraJ Olllve est ne a Rezé Loirû-Infér^ur;, le 1" juin 1B82. Entré 4 l'Ecole Navale le 1" octobre 1899, 1l 4 fait campagne en Atlantique de 1901 à i 1902; puis en Extrême-Orient en 19041905 promus lieutenant de vaisseau en 1911. Il était versé au début de la guerre dans le régiment des canonniers marins de 1914 à 1917 puis de 1917 à 1918. 11 a commandé le torpilleur Fauconneau. Promu capitaine de corvette en 1919. il a commande le torpilleur Téméraire de 1919 à 1920. Promu capitaine de frégate en 1923. 11 a été nommé professeur à l'Ecole d'application de tirs la mer et conférencier à l'Ecole de Guerre Navale de 1922 à 1924. Ensuite Il a commandé dane ce grade la sixième escadrille de torpilleurs et l'Algérien, de 1924 à 1928 Promu capitaine de vaisseau en 1927, il a exercé les fonctions de chef d'étatmajor du vice-amiral commandant en chef la première escadre de 1927 929 dans le même grade Il a commandé de 1929 a 1931 le croiseur Gueydon et l'Ecole d'application de tirs à la mer. En 1932, Il a exercé les fonctions de chef d'état-major du vice-amiral Inspecteur général des forces maritimes du Nord. Il a été promu contre-amiral en 1933 et a commandé a 3' escadre légère de l'e» cadre de la Méditerranée. Il vient d'être nommé premier sous-chef de l'étatmajor général. Le vice-amiral Olllve est commandeur de la légion d'honneur. Le contre-amiral Bourragué Le capitaine de vaisseau Bourragué qui Vient d'être promu contre-amiral est né le 22 novembre 1886 à Brassac Tarn. Entré à l'Ecole Navale en 1902, il effectue comme aspirant et comme enseigne diverses campagnes dans l'Atlantique, en Extrême-Orient et au Maroc. Promu lieutenant de vaisseau en 1916. il devient officier d'ordonnance du viceamiral commandant les patrouilles de la Méditerranée; en 1917 Il commande une section Ge chalutiers Apres la guerre, Il vient à l'état-maJor général et dt 1919 a 1921 est officier d'ordonnance du ministre. Il commande ensuite le Matelot Leblanc. Comme capitaine de corvette. puis comme capitaine de frégate, de 1923 & 1927 Il est professeur a l'Ecole de guerre navale qu'il quitte pour commander le torpilleur Le Mars Japltaine de vaisseau en 1931, Il commande le croiseur Dupleix de 1933 1935 et prend ensuite les fonctions de chef d'état-major dans la 1" escadre. Depuis l'an dernier l'amiral Bourragué est secrétaire du Conseil supérieur de la marine et chef de la section d'études des armements navals. Il est officier de la Légion d'honneur. Le contre-amiral de Carpentier Le capitaine de vaisseau de Carpentier qui vient d'être promu contre-amiral, né le 31 décembre 1881 Eplnal. est entré & l'Ecole Navale le ln octobre 1899. Successivement promu aspirant de 2' et de 1" classe. puis enseigne Ge vaisseau 16 octobre 1904 et lieutenant de vaisseau 9 août 1912, Il fait de nombreuses campagnes lointaines à Madagascar, au Maroc et en Indochine. Pendant la guerre Il commande L'Engageant. Capitaine de corvette le 18 mal 1920, Il commande le Delage, puis comme capitaine de frégate 14 Juin 1923 la Tempête et une escadrille de torpilleurs. Dans le grade de capitaine ne vaisseau 2 Janvier 1930, Il commande successivement le Tourville et le cuirassé Paris. Depuis avril 1936. l'amiral de Carpentier est directeur du port de Toulon. Il vient d'être désigné pour y occuper les fonctions de major général. Il est officier de la Légion d'honneur. Le contre-amiral Derrien Le capitaine de vaisseau Derrien Edmond, qui vient d'être promu contreamiral, est né le 2 novembre 1882, à ChAteauneuf h Finistère Entré Il l'Ecole Navale en 1900, Il effectue diverses campagnes de 1902 a 1910 en Atlantique. en Orient et dans l'Océan Indien. Lieutenant de vaisseau en 1914. il commande en 1915 le Canada-il et en 1917 La Luronne. Dans le grade suivant il est aide de camp du préfet maritime de Lorient, puis commande le Régulus de 1921 à 1923. Capitaine de frégate en 1924. Il commande le torpilleur Ouragan capitaine de vaisseau en 1930. il exerce successivement les commandements de l'Adroit et de la 2' escadrille de torpilleurs, du Lion et de la 4' division légère, du MailléBrézé et enfin du cuirassé Provence. Depuis octobre 1936. l'amiral Derrien est chef d'état-malor de la 2H. Messon Kalougi Expert J'ai Comprts Margueti • Jean -de- la -Lune- IV M Gougeon ̃ Jéhu IL Souchoni Jatnac-VIl A. Lecomte Justice-11 'Alb Tambérii- Jalapine iL. Carré i Je suis Bille M. Lsrivlèrei Jap-Il iG. Chéron Prit DE Croise ville, Monté. 10000 fr.. 2625 m.. La Réponse iH. Picard Ltonie iAndré Thibaut La Vivandière ' 8'monarii- Lot Nationale ou Lanrousrin» ÉA Décroche Lolotte ,B. Man-*on> La r'-ueuterte iR. Boudeaui; La Ténébreuse U. Merlsse L'Amourette P QuH'.oui; La Haute-Folie iH Mariel. La Divex Bertog'.latl La Ntrerna*'e lE. Carré Lvneravximne rG Pentecôtet La Pailu iM. Dejean- Langrune 'E. Marie L'Abeille ̃Gamet LuCette 'A. 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De notre correspondant spécial BEURRES. Vente ordinaire. On a casé un peu plue que les arrivages modérés du Jour et la resserre n'était déjà guère Importante. C'est pourquoi les cours ont été bien tenus, sauf pour les centrifugeas ordinaires. On cote au ktlo cours extrêmes avec cours moyens entre parenthèses Beurres en mottes Centrifuges des Laiteries Coopératives et Industrielles Oharentea Poitou, Normandie 12 à Touralne, 15 Il autres provenani ces. 10 Il Malaxés Normandie, à Bretagne. 11 a 15 13 autres provenances, 10 à 14 12. Beurres en vrac Provenances diverses. a Beurres en ltvres Provenances diverses. 12 Arrivages du jour Beurre français kilos pour mottes. Ventes du jour mottes. Resserre du Jour mottes. ŒUFS. Devant l'importance de 1la resserre, les acheteurs ont fait preasion sur les cours. Les petits arrivages du Jour ont été casés, ainsi Que prés de 500 colis de la resserre, mais celleci est encore Importante. Cours par colis de mille oeufs cours extrêmes avec cours moyens entre Normandie, 550 6 700 660 Brie Beauce. 410 à 650 t6OO Bretagne, 370 a 560 5301 Poitou. Touraine, Cen- Itre. 520 à 700 660 Champagne, Bour- Bogne. Bourbonnais. 570 a 580 5i5i Auvergne. Midi. 510 a 580 550 conserve par le froid. 400 à 480 1440 Ma- roc. 350 & 450 380. Arrivages du jour 450 colla. Ventes du Joue 945 colla. Resserre du Jour colis. FROMAGES. PATES MOLLES. Vente facilitée par les petits arrivages. Hausse sur le Brie. Prix au cent Camemberts Normandie, 210-350 divers, 160-210; Pont-1'Evê- que. 200-340 chèvre. 65-350. Prix à la dizaine Brie grand moule. 190-210; moyen moule, 130-180 laitier, 60-120. Pâtes SÈCHES. Vente moyenne. Cours peu soutenus en gruyère. Aux 100 kilos Port-salut, gruyère, Comté, Arrivages Pâtes molles, kilos; pâtes sèches, kilos. VIANDES. A cause de la grève des tueurs à La Valette, Il fallait s'attendre une restriction sensible des offres et un accroissement de la deman- de aux Halles. Une forte hausse s'est donc produite. On cote au kilo cours extrêmes Bœuf. Hausse de Il 1. sauf sur les quartiers. Quart derrière non traité Première qualité a deuxième. 8 A troisième. quart devant, 2 à aloyau et milieu de train de côte. 8 à tram entier, 12; pale- VEAU. Entier ou demi Première qualité, à deuxième, & troisième, à pans, cuisseau, carré. 10 & 11; basse complète. 8 Mocton. Hausse de sur le mouton entier et l'agneau. Première qualité, a deuxième. à troisième, à gigot, 14 20; carré, 8 à 26 épaule. 6 a 11 agneau de lait, 13 à chèvre, 2 a 4 PoRc. Hausse de sauf sur la poitrine et le lard. Demi Première Qualité, a deuxième, 8 à longe ou filet. 9 à 13; reins. A poitrine, à .tambon, a lard Arrivages du jour kilos. VOLAILLES. La restriction des offres de viandes a fait que l'on s'est Intéressé a la volaille. Une hausse a été possible sur les canards morts, dindes. coqs, lapins vivants. oies en peau et lapins de garenne. Cependant, les canards sauvages poules mortes et agneaux de lait sont en régression. On cote au Kito 1 cours extrêmes Agneaux de lait. 9, agneaux gros. 10-14; canards rouennais. canards nantais. 14-16,50; canards de ferme 10-12 5G; dindes Gâtinais et Touraine poules, 13-14,50; coqs, 9-11 dindes du Midi poules, 13,50-15,50; foie gras d'oie, 35-45; lapins du GAtinala et Touraine, 10,50-11; lapins de provenances diverses, 10, poulets nantais. 13-15; poulets du Gâtlnals. 14-16 poulets de Touralne, 14-16 poulets de Bresse, 17-19; poules de Bretagne, On cote la piece cours extrêmes Pigeons gros et petits, 5-10,50; pintades. 14-22. On cote les volailles vivantes au kilo cours extrêmes Canards, 8-10 lapins ofes, dindes. 8-12; poulets Jeunes Gâtlnals. Charentes. 10-12 poulets vieux Gâtlnals, Bretagne. 9-10 Arrivapes kilos. Resserre de la veille kilos. GIBIER. On cote la pièce cours extrêmes Bécasses. 12-18 bécasstnes 6-7; canards sauvages. 14-23; lapins de garenne 5-9; sarcelles, 4-7. On cote au kilo cours extrêmes Lapins de garenne dépouillé. 5-7. Arrivages 850 kilos. LEGUMES. La demande manquait d'entrain. Quant à l'offre elle était abondante pour les produits de la région parisienne. plus modérée pour ceux des départements. Un? hausse a été posslble sur les choux-fleurs, épinards. scaroles. Par contre, les carottes de Meaux, choux de Bruxelles, pois mange-tout. artichauts d'Alger. choux verts et poireaux communs accusent un certain recul. Cours extrémes aux 100 Kilos Ail, 250 500- carottes de Meaux. 40 à 55; carottes de Créances, 60 80' carottes d'Algérie. 180 a À50; champignons couche extra. 550 & 700 champignons moyens 450 a 550; champignons de conserve, 00 a 450 chicorées du Midi. 80 & 163; chicorées améliorées. 100 a 250 choux de Bruxelles. 60 a 150 crosnes. 400 a 500 échalotes 150 a 250; echalotes-ognons. 140 a 180 endives belges. 160 a 190; épinards départements. 170 a 220- épinards région parisienne. 100 a 200 escaroles Nantes et Saumur, 160 a 180 escaroles région parisienne 140 à 160 escaroles du Midi. 100 200 fèves du Maroc. 500 a 600 fenouil du Midi, 100 a 180 haricots verts du Maroc. 750 A d'Algérie. 700 A 1200; haricots secs, 340 a 450- laitues du Midi, 100 350 lentilles 40. a 650 mâches départements. 200 a 320 mâches région parisienne. 350 a 450 navets de Fins et Vlarmev 20 a 40 navets d'Algérie nouveaux. 150 a 25U oignons en grains. 40 à 70 oseille. 250 350 patates. 150 220 persil. 140 a 160; poivrons, 380 & 420- pissenlits de Vendée. 200 à 250; pissenlits verts de Paris, 250 300 pissenlita blanc» de Paris, 420 à, 460;. pl8-,1 senlits blancs de Meaux. 360 â 400; pois verts du Midi. 500 à 600; pois verts d'Al- gérie, 450 550; pois cassés 230 270; potirons, 80 à 100; raifort, 450 & 550 topinambours. 40 à 60; salsifis de Hollande, 280 330; salsifis d'Orléans, 80 t 250. Cours extrêmes aux 100 kilos Pommes de terre Hollande commune 65 à 100 Rosa. 95 le Saucisse rouge 65 & 90; Jaune ronde. 50 & 60; Eerstelingen, 60 à 65; nouvelles d'Algérie. 140 & 180; nouvelles rouges, 160 à 250 nouvelles du Midi. 240 à 2ti0. Cous au cent Artlchauts d'Algérie, .130 A 200; chicorées du Midi, 50 A 100; choux verts de Paris. 15 45; choux rouges, 50 200 choux brocolis, 30 40; choux-fleurs du Midi, 150 326 choux-fleurs de RoscofI, 120 200; escaroles, 60 à 100; laitues du Midi. Sa k 100. Cours aux 100 bottes Barbe de Capucin. 80 & 90; carottes des Vertus. 100 & 150; ciboules, 20 à 60; estragon, 75 125; panais, 40 A 60; poireaux de Montesson. 175 225 poireaux ordinaires, 75 A 150 radis de Nantes et Orléans. 40 A 90; radis noirs. 100 140. Cours aux 218 bottes Cresson. 75 & 145. Cours à la botte Salsifis région parisienne. à 2 salsifis de la Manche, A 10; thym. Cours d la pièce Cardons, 3 & 7; céleri-rave. A FRUITS. Marché peu actif gérie. On cote aux 100 ktlos cours extrême Abricots secs, 800 A amandes sèches. 700 750 clémentines. 350 à 700 dattes. 350 790 figues sèchea 300 à 800 mandarines, 300 à 500 marrons français. 150 à 280 marrons d'Italie 220 300 nèfles. 150 à 250 noisettes sèches, 400 à 550 noix sèches de Grenoble, 500 600 noix sèches diverses. 320 A 500 oranges d'Algérie, 1932. 767 »! 762 NICKEL 1310 » 1305 » OITV OEEP 216 50 219 » BONS 4 I 133 » 10 ni 908 »! 910 » PENARROV* 361 » 361 » 0ONC0RO1A 90 » 88 50 BONS 5 1933 963 ni 965 » UGINS 11861 » 1855 » OROWN mines 1783 » 1781 BONS S 19!4 940 » 941 KUNLMANH 783 » 770 » DacgafOntein 264 50 264 » BONS 4 1/} , 1934 971 971 50 MAT. OOLOR. SI OENIS.. 1410 » 11383 » OE BeERl Ordinaire 1721 » 1714 4 BONS 4 1936 950 et[ 950 » PHOSPHATE DE OAFSA 885 ni 872 » prof 1850 ,Il 0 O-» UTON»" D MORT 796 793 » PEOHINEV 2090 i> 12052 » OURBAN ROODEPORT.. 387 11 376 » BANQUE OE FRANCE 8305 11,8075 il RHONE POULEU0 1357 » 1325 EA8TERN RUBBER . 247 il 243 BANQUE OE L ALGERIE 66J0 » 6510 » SAINT GOBAIN 2070 II 2040 » EAST OEOULD 1082 »11081 n BANQUE DE PARIS 1508 11483 PORT DU ROSARIO 5750 »15740 » EAST RAND 428 »l 428 » BANQUE UNION PARIS. 621 »l 621 CHARGEURS REUNIS 520 501 » FRANCO- W YOMINO 385 501 383 50 C" ALGÉRIENNE 1357 »H369 » AIR LIQUIDE 1491 »I1466 » GENERAL MINING 626 » 626 » OOMPT' O ESCOMPTE.. 811 > 840 » BRASSERIE OUILMEL. 4495 » 14495 il GOLOFIELOS 588 » 579 » OREDIT COM FRANCE. 679 675 » OAOUTCH INDOCHINE., 686 665 » HOTCHKIS8 1235 i 1206 » CRÉDIT FOND. FRANCE 2885 » 12840 CITROEN i 769 » 742 .1 JACER8FONTEIN 191 501 289 » CRÉDIT LYONNAIS 1753 11716 n COMPT' MAT US. • GAZ 900 876 » JOHANNESBURG 482 501 476 » SOCIÉTÉ GENERALE 748 » 745 » PEUGEOT 683 » 684 » KUALA LUMPUR 360 nI 344 » PENTE FONCIERE 555 » 620 » SAV Raltintrlt 782 » 751 » lanClaaote 122 501 122 50 SU GENERALE FONO 172 » 173 » TERRES ROUGIS 513 » 501 » MAIN REEF 500 496 • -JEZ Action* 26805 » 127020 » UNION EUROPtENNt.. 781 » 784 n MALAOCA ORDINAIRE.. 260 »I 251 50 Parts de Fondit.. 23750 » 23900 » PLAN VOUNO 428 n 420 » MEXIOAN EAOLa 165 SOI 166 50 -société Civil* /5 6?50 » 6*20 n ORED ARDENT 4 • 1934. 666 n 665 » MIOHELIN 1/6 ci$ arts 1775 » 1770 » EST 625 ni 624 tELOt ô 11 1934 1487 »11485 NEW STATU ARIAS. 354 » 352 50 LYON 769 »! 771 » EGYPTE UNIFIEE 1 2225 12225 » PAOANO 700 » 683 i> MIDI 650 625 » JAPON 6 t> 1907 i 1627 ». PERNOD 1910 n 1990 ̃> SANTA-FE 778 »I81O » TURO 7 i t 1913 1'* 328 322 » rand mines 983 » 985 METROPOLITAN 1200 i> 1 1 C3 » BANQ. NAT. MEXIQUE. 301 »l 299 » ROAN ANTELOPE 410 x 403 » PARISIENNE IND. CLEO.! 431 429 » BANQUE OTTOMANE 525 512 n ROBINSON OEEP B 330 501 331 » TRAM. OE SHANCHAI 1031 » 10*?4 CRÉDIT FOND EOVPT. 4610 14600 » SHELL TRANSPORT 729 nI 722 » LYONNAISE d EAUX 0-1. 1S85 » 1602 ̃> OANAOIAN PACIFIO .l 3S1 11 346 i> SIMMER AND JAOK. 90 501 90 i> J-. 1i40 n'mn » WAGONS-LITS JIW 501 103 » SPRINC8 226 »l 222 CAUX • EL. INDOCHINE 1875 ii'lIftO » PHILIPPS 2»*ÎO » 12780 tDS NICEL 1526 »I1518 n DI8TRIB. D'ELECTRIO liât ,1170 » CENTRAL MINING I 31X0 Il -11, ,> TANGANVIKA 101501 101 n ELEOTRIO OE PARIS, 795 »I7*8 » GEDULD IllOO nHft5 THARSIS' 337 501339 50 ÉLECTR DE LA SEINE., 442 ni 4M MONTECATINI JWS »l 1*8 51 TRAN8VAAL 349 501 350 •> ELEO. • OAZ 0" NORO 4R? »l 470 » RIO TINTO ?W- n'7340 » SOIE OE TUBIZI 187 183 i> ELlOTR Dit O* ].t0 1 AZOTE Rte WORViQn* 1309 ,i 13 UNION CORPORATION J081 »']0S7 n EN'' ELEO LIT. MEDIT. 714 nl 641 » PETROFINA S'fl »I SK7 » U'"MIN Ht » » T â N 0 • '47?8 U '° MIN H -K AT ANC 3 »l PAO » AMttTEBOAM UBBER.. JIMII » 3MI » VIEILLE MONTAGNE 24R7 , 23RS n T S. F Ç77 ni P'M n NESTLE 5115 »>545 » VINS SPIRITUEUX.. 377 'il 144 THOMSON HOUSTON 9*7 21S n PORTUON DES TABACS 400 11 397 » WEST RAND 212 ni 211 50 UNION D'ELECTRICITE. 535 il 525 SUCR O'ECYPTE Ord..1 715 702 i> WEST $PRIMO$ 312 313 50 VALEURS SE NÉGOCIANT AU COMPTANT Prècéd. loor Préeéd. Jour BANQUE INDOOHINB 4530 » 4520 4 1/J 19Î9 d. 500. 399 398 • BANQ. NAT. COM. e- ind. 540 » 538 » S 1934. d* 805 » 804 a SOO. marseillaise 524 525 i> 1 &% 1919 s lot*. 495 » 490 » EAUX 01* Oansr. Oap. 1440 » 1380 =z>6 Iflil 495 490 » VIOHY Aotion A .1 '» »l » » *j° 960 » haVraise D'EN'' ËLEO. 911 895 MAROO 4 1930 658 »l 647 » NANTAISE O-EOLAIR 410 » 391 OEp. AISNE 1 il 1918,. 491 493 • TELEPHONES 351 338 » I 1927.. 566 560 » GAZ LEBON Jouit. 1450 » 1430 OEP NORD t 1911 441 440 » ACIERIES lONOWV 494 n 465 » 8 1M3. 455 455 a atel. •̃ Oh BRETAONE 260 » 280 » IX ant. 1926 483 477 » OHANTIERSSI NAZAIRE 750 740 » J Mpl 1926 494 494 • FIVES-LILLÏ 890 850 PAS-OE-OALAIS 7 1928 489 » 487 » PONTOIBAUD 1870 »I177O » J 1927 486 » 484 » FRANC MATER. OH FER 720 i> 701 » IND. SIN. 4 t In 193t 722 754 a METAUX 01* 2720 "J2680 n PARIS S 1910 • Ion 219 217 » SENELLB MAUBEUGE. 865 815 n 4 l't 19t9 » >ol* 716 719 Il aniche 1230 »I115O n 4 1931 lot. 658 » 660 » ANZIN 636 i>l 600 » 4 ♦ '932 • lot* 720 » 720 » CHARBONN. du TONRiN 3690 113514 n 5 • 1934 • lot* 886 875 Il vokt» Ci HAOID 5526 "15340 OOMM» 3 i»" 'en 287 ni 286 » MINES OF BOR srdln B600 »!2595 FONO"» 3 1909 0 10» 147 501 146 Il ZINOdsi UEHOOUR Ao. 2050 u n » 00 M M» 3 1911 0 loto 147 n 145 » ETAINS d* TEKKA Ao. 1475 nl n » OOMMM* 4 1931 • >ott 670 ni 672 n ► âLI SAINTE THERESE 1760 ni 1650 0OMM 4 1/4 1131 a lois 682 ni 680 » SOIE ARTIF. GIVETi I “,» »l n OOMMI** 6 l'i 1934 s lot* 91g nI 908 » ENTREP nr QRENELlt 915 865 IONS EST 5 io 1931/41 871 871 » OLIDA 3995 »I395O » BONS TAT t 1931/41 865 » 858 » St-RAPHABl Quinquina., 6800 »I66SO BONS ETAT 1914/49 901 Il 900 » SUORERIES OOLON» 360 345 50 ETAT 5 1911 A 611 Il 608 » POLIET 0HAUSS0N.. 717 » 688 ETAT 5 1/1 1935 '785 » 788 a BON MARCHE 225 n 225 ETAT S 1936 873 n 871 GALERIES LA"AYETTB 59 ni 57 n BONS lVOm i 1934 '49 908 Il 895 a PARIS-FRANCE 895 »l 850 n LYON 6 1921 A 608 »l 606 » PRINTEMPS • n »1 » » LYON s 1933 700 »l 696 n AIR LIQUIDE Psrt 4000 »'385O n MIDI s frocanao 3X75 »!3!MM> Il ORLEANS 4, 1991 A 550 553 EST asiatiQ OANOIS 5975 .5910 n ORLEANS S 1933 M7 ni 96 Il ELEOTRO OIVES 4 11. J1K »l 515 n OUEST 3 J4fl ni 339 Il HUTCHINSON ]620 »ll50ft n ANGLAIS CONSOL. I . 9102 19080 Il MONACO ldfil Il'1420 BRESIL 4 1910 I • 400 ni 409 » HOTELS oeunis c 1/4- 750 nt 755 Il NORVIOE 1 11 1901.. a ni » Feuilleton de L'Ouesi-Eclatr du 20 Janvier 1937 32 O'NEVÊS d'après Charles QARVICE Une jeune fille aux enchères Crand roman d'amour et d'aventirn inédit Vous pensiez que je pourrais voua payer une seconde lois? Vous vous trompez. J'ai écouté patiemment vos divagations. Avec plus de patience que n'en auraient des juges et un ;ury. Personne ne croirait a votre Histoire d'un second testament, une h'stolre racontée plr un forçat évade. Ce second testament, n'a jnmsl* existé que dans votre imagination. L'invention est digne d'un homme condamné comme faussaire, d'un cr'm'npl bien connu qu'il est de mon devoir de Urrer à la polio*. Lavaric lui jeta un regard de côté. Ah je suis un imbécile, n'est-ce pas ? Peut-être bien, mais pas plus sot que vous, car vous oubliez que ce testament a été signé par deux temoms. La vieille mistress Parsons vit toujours et n'a pas du tout envie de quitter le monde. Elle a toute sa tête et sa memoire. Jordan tressaillit et son visage qui s'était empourpré reprit une pâleur de cadavre. Pourtant, il se força a rire. Très bien. dit-il. Admettons le second testament Mais votre interprétation de la scène est fausse. C'est mon père qui s'est repenti de l'avoir écrit et m'a demande de le détruire C'est par son ordre que je l'ai brtllé, quelquea minutes avant sa mort. Lavaric se frappa les genoux avec admiration. Sur mon âme. Sir Jordan, vous êtes très fort Votre coup est une parade habile Moi-même Je n aurais pas trouvé mieux. Fâcheusement pour vous. il se pencha en avant, ses yeux sur ceux de Jordan, malheureusement pour vous. vous ne l'avez pas brûlé. parce qu'il existe encore Sir Jordan se serra les mains. C'est un mensonge S il existe encore. ou est-il ? Qui le détient ? Lavaric pnt l'air solennel. autant que son laid visage pouvait prendre de dignité. Moi, Sir Jordan. XXXI Les lèvree palet de l'Honorable Sir Jordan. Membre du Cabinet, s'ouvrlrent et laissèrent tomber une exclamation de dépit. Et oui. Sir Jordan. il est en ma possession. Quand vous avez quitte la otatunbre pour parler a la nurse, il ne m'a pas fallu vingt secondes pour me glisser dans la pièce, prendre le document a terre et revenir dans mon abri. Je me suis toujours étonne qu'intelligent comme vous l'êtes vous ne l'aylez pas devine tout de suite. Sir Jordan essayait de bien saisir la situation. Ce bandit, ce faussaire dont l'audace égalait la ruse. le tenait en sa puissance; s'il exhibait ce testament, c'était la ruine, car quelque Importante que fût la fortune à partager, la part qui lui reviendrait ne comptait pas pour un homme dans sa position. Un membre du Cabinet qui veut devenir Premier Ministre a besoin de ressources considérables L'habileté sert peu sans l'appui de l'argent. Sir Jordan ne pouvait renoncer a un penny En plus. il y avait le scandale. Avec quelle joie ses ennemis il les savait nombreux s'empareraient de cette histoire. avec quelle ardeur ils le poursuivraient de leurs aboiements La pensée lui donnait tour à tour chaud et froid. A tout pnx 0 fallait acheter cet homme, sans pourtant lui céder tout de suite. pour sauver les apparences Il prit un air détache Voyons. dit-il si l'admettais, pour l'amour de la discussion, que vous avez dérobé ce testament. je ne vois pas quel parti vous pourriez en tirer. Lavanc eut un nre sinistre. Vous ne voyez pas, vrai. voua ne voyez pas ? Non D'abord. vous ne pouver pas le montrer. Vous ne pouvez expliouer comment il est tombé en votre possession sans vous accuser vous-même de cambriolage. sans parler du risque ou plutôt de la certitude d'être repris. C'est mon affaire. Laissez-moi vous rappeler qu'une lois déjà vous avez été condamne comme faussaire. Banks. Et vous auriez de la peine à prouver l'authentlcite d'un document que je déclarerais faux. Je ne doute pas que vous le ferlez. Mais vous oubliez les témoins Je n'oublie rien. Mais en admettant même que vous réussissiez a convaincre un jury, et n'oubliez pas que pour la lutte je dépenserais jusqu'a mon dernier penny. en admettant que vous réussissiez, je ne vois pas comment cela vous rapporterait ce que vous cherchez. de l'argent. Vous dues que mon demi-frere. Neville, bénéficierait; mais peut-être est-il mort; c'est même probable. C'est possible, admit froidement Lavanc. Et s'il était vivant pourquoi me dénonceriez-vous a son profit puisque vous ne le connaissez pas ? Je ne l'ai jamais vu. = La seule autre personne à considérer, c'est cette jeune tille de Je ne sais rien. ni vous non plus. Elle aussi peut être morte Elle l'était peut-être avant que le testament tût écrit. Lavanc se pencha en avant et posa sur la table ses deux larges mains C'était le moment de son triomphe. Il le savoura lentement Elle est vivante prononça-t-il avec emphase Un spasme contracta le visage de Jordan. Vous le dites n faudrait le prouver. Je peux le prouver. Je ne crois pas beaucoup à la Providence. Sir Jordan, pourtant quand je vois les événements, J'incline à penser qu'il y a pour gouverner le monde, quelque chose d'autre que le hasard. Regardez un peu je me suis trouvé sur le bord d'une fenêtre a point pour apprendre l'existence d'un testament, et quelques mois plus tard. je me suis trouve, a l'autre bout du monde, a proximité d'une pauvre cahute pour voir mourir le père de l'héritière désignée. Oh 1 Je le connaissais de longue date et il m'a suffi d'entendre sa voix pour n'avoir aucun doute. Oui. sa fille etait l'héritière de Sir Gréville et moi J'avais en ma possession le testament qui la ferait riche N'est-ce pas étonnant ? Sir Jordan écoutait, fasciné par l'étrange enchaînement. C'est l'exacte vérité. J'avais été tente de rester en Angleterre et de me mettre Il sa recherche e n'avais pas eu le courage de courir le risque.. heureusement. car si j'étals resté. je l'aurais peut-être manquée Jordan ncana. J'ai peine a croire que vous ayez découvert cette personne. à l'autre bout du monde. Comment prouverezvous son Identité ? Son pere lui a remis les papiers nécessaires, en lui recommandant de ne pas les ouvrir dans un délai qu'il lui a fixe. Il redoutait que la haine de Sir Gréville poursuivit l'enfant comme elle avait poursuivi les parents. J'ai vu la petite les cacher daa* sa poitrine. Sir Jordan releva la tête vivement. Vous les avez. ces papiers ? Pour la première fois. Lavaric parut déprimé et honteux. Je vous ai dit que je Jouerais franc-Jeu, et je le ferai. Non. je ne les ai pas J'ai risqué ma vie pour les prendre, pas seulement une fois. mais plusieurs, et j'ai toujours manqué. Il frappa la table de son poing. Je jure que je les surai. Jordan l'étudiait avec attention. De tant parler m'a sèche la gorge, dit brusquement Lavanc N'y aurait-il pas moyen de boire quelque chose ? Certainement dit Jordan. Il se leva et sortit de la pièce. Lavanc le suivit jusqu'à la porte et jeta un coup d'œil sur le corridor couvert d'un tapis épais, décoré de bellea tentures. Sir Jordan revint portant une bouteille de whiaky, une carafe d'eau et des verres qu'il poda sur la table. Servez-vous, dit-il bnevement. Lavarie but largement et reposa le verre sur la table. PinlMons-en. dit Sir Jordan. Ma patience est à bout. J'aimerais mieux tout abandonner que de respirer le même air que vous un quart d'heure de plus. Vous êtes venu me vendre le testament Dites votre prix Je l'achèterai tout de suite, ou jamais. Lavaric remplit une seconde fois son verre et le vida d'un trait. Nous verrons bien, ncana-t-il. remis de bonne humeur par l'alcool Me Jugez-vous assez mais pour être venu vous trouver avec la chose dans ma poche ? Je vous connais trop bien. Je me fierais plutôt à un tigre qu'à vous. Sir Jordan, malgré votre beau parler et vos grandes manières. Jordan, blême de colère, frappa du pied. N'allez pea trop loin. Banks, menaca-t-il. Je suis déjà bien tenté de vous laisser vous livrer à vos fantaisies. USNS21ONIIal£N TS JUKIDIWUCS Oowntieui procM »tT»iro* nurfieuMe, baux. loyers jucce*iion», impôt», des renueignemenu contra aaiH IMMEI/BLÉSutr. Ventes et locations AGENCE LAORANGE. fondée en 1878 34. rue Pasquier. PARIS B1 AlfClinDC Propriété 33 hect. seul iCnilnC tenant près Saintes, loué ou libre. Prix 145000 fr. Propriété 22 hect. s/rlvière à Pons. ^Ecr! Faveau, ROYAI. A LOUER p. Parthenay. B. FERME 15 à 18 na. pr gare et laiterie. BAtlm. part. état. Gaillard, Notaire. Parthenay D£. 4LI/HE/VTATIO/V an. MIELS NATURELS des ruchers de u Solesmes l'Abbaye n. Envoi franco en seaux plombés et caisses de pots. Gros et détail t. rue Haute St-Martln SABLE iSartnei Rucnes et ruchettes peuplées noires et Chypriotes. 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Les découvertes de l'Abbé Blanc M. l'abbé Blanc a toujours tu la passion de la botanique appliquée au soulagement des souffrances humaines. Vivant depuis bien longtemps en Algérie, joiqnant l'expérience à l'obaervation, guidé aussi par quelque mystérieuse intuition, il eut le bonheur de réaliser d'inestimables découvert»». C'est 1919 qu'il trouva dans les montagnes du Zaccar les plantes rares dont la médecine arabe fait un usage empirique pour décongestionner les volet respiratoires. Après plusieurs mois d'étude et de recherches, l'abbé Blanc mit au point un remède dont la première application fut La commande du carillon électrique unique ta Afrique du Nord installé à aux frais de M. l'Abbé Blanc. merveilleuse un flacon suffit à quérir la coqueluche qui étouffait une petite fille d'Ain-Sultan commune d'Affreville. La semaine suivante, un autre enfant le petit Trantour était guéri de même. De 1919 à 1928, l'abbé poursuivit ses travauz, perfectionna les dosages et la présentation de son remède, qui devint le ameux Coqueluchsirop Et les quirivu se multiplièrent Peu après, naissait le Bronchocure >, autre forme du même remède, spécialement dosé pour combattre la toux de rhume, de bronchite et même d'asthme. chez les adultes, les vieillards, comme chez les petits enfants. En 1928. l'abbé Blanc. débordé par les demandes de sirops, confia leur preparation aux Laboratoires Bourély, les plus importants spécialistes de l'Afrique du Nord. Libéré de cette charge, l'éminent botaniste put mettre sur pied un autre remède non moins précieux des gouttes antipaludiques, produit végétal dont les essais, maintenant achevés, ont été satisfaisants dans la remarquable proportion de 89 des cas. Le désintéressement de l'Abbé Blanc Menant une vie de labeur et de dévouement M. l'abbé Blanc ne tire aucun profit personnel de ses découvertes. De par sa volonté formelle, le prix de vente de ses produits a été fixé fort au-dessous de la valeur des spécialités pharmaceutiques correspondantes. C'est ainsi que le flacon de Bronchocure n'est pas vendu plus de 12 francs. En raison de sa contenance 400 gr., c'est le moins cher de tous les sirops contre la toux. Les redevances minimes perçues par l'abbé Blanc sont entièrement consacrées à ses œuvres paroissiales. En 1934, l'abbé Blanc a fait installer dans son église de Beni-Mered un superbe carillon électrique, le plus moderne de toute l'Algérie. L'année dernière, il dotait l'église des grandes orgues dont nous publions ci-contre la photo. Et, bien en- Le 15 mara 1935. J'ai pris du c Bronchocure d plusteurs reprises et chaque fois avec un réel soulagement. Je conseille tous votre excellent remède, car c'est rendre service. FONS, de Gendarmerie, Blida. Le 30 décembre 1936.. Quand mon mari, mes enfants, ou moi, nous nous enrhumons, le ne donne que le Bronchocure ». Ça suffit I Mme Douillet, Fort Lamothe, Duperre. Le 22 décembre 1936. Mes deux fillettes 7 et 9 on» étaient atteintes d'un rhume tenace. Ignorant le Bronchocure ». le leur donnai différents sirops Qui n'eurent aucun effet. Avec deux flacons de e Bronchocure », leur rhume disparut. M. LONGHI, 85, rue Alger, Le 22 novembre 1936. J'ai l'honneur de vous adresser mes remerciements et félicitations pour l'efficacité du e Coqueluchstrop » dana la guérison de notre enfant. M. RurroRT, 24, rue Alger. Le 4 janvier 1936. J'étais affligé d'une toux opiniâtre qui durait depuis plusieurs années a la suite d'une bronchite. Ayant essayé le Bronchocure », Je Jus surprise d'être calmée dès la première bouteille, et complètement déltvrée de cette mauvatse toux1 après une cure de quelques semaines. Mme Debakd, 28, rue Dr-Trolard, Alger. M. l'Abbé Blanc exerce une surveillance active sur toutes les opérations de la fabrication du Coqueluchsirop et du Bronchocure. Le voici, dans la réserve des plantes, contrôlant le hachage et vérifiant l'homogénéité du mélange. tendu, on ne compte pas les oeuvres d'assistance auxquelles il apporte sa collaboration généreuse et discrète. Les grandes joies d'un saint homme Ce bienfaiteur ne eonnait pas de joies plus vives que d'enregistrer les témolqnages de confiance et de reconnaissance qui lui parviennent chaque jour de l'Afrique du Nord et des région. de France où sa réputation s'est établie. Il a constitué un album de gratitude » qui s'enrichit rapidement. L'origine et l'aspect divers de toutes ces lettres font mieux ressortir l'unanimité des sentiments exprimés. En voici quelques-unes Le 21 octobre 1936. Je suis heureux de pouvoir vous remercier de votre excellent produtt le c Coqueluchsirop » qui a guéri en quelques jours ma fille âgée de 4 ans 1/2. atteinte d'une forte coqueluche. Je me fais un plaisir de le conseiller à chaque occasion, car il est vraiment efficace. M. Compaih, 4, rue Clos-Margot, Le Mans. Le 6 décembre 1936. La coqueluche ayant sévt dans notre localité, l'ai demandé en deux fois, 35 flacons de votrt merveilleux remède. Le 1- envoi a fait si bon effet auprès des fillettes que lorsque le mal s'est attaqué aux garçons, j'ai dû faire une nouvelle commande par avion. Je vous félicite de ce bon remède qui soulage tant les petits enfants. Sœur J. B. I. Supérieure de la Communauté de C6te*-du-Nord. Le père du Bronchocure » reçoit une visite inattendue Au Jour de l'An, parmi les visiteurs venus lui apporter leurs voeux, l'abbé Blanc distingue un couple jeune et vigoureux. L'homme te présente Femand Trastour. Le visage du prêtre s'Illumine de plalsir Femand Trostour. le petit qarçon d'Aïn-Sultan, le deuxième 0 guéri de la coqueluche par les plantes merveilleuses Et l'abbe prend plaisir à rappeler ces heures passionnantes des débuts du Maurjr; 18 h. 50. Météo. 7 h. Informations 8 h. Informations Presse répétition 9 h. 45 Concert de musique variée, organisé pur ie Conseil de Gérance de Rennes-Bretagne avec le concours d'un orchestre de ciambre sous la direction de Maurice Henderick Les Cadets, marche Ssusai Ouverture italienne Zercj Isoline, ballet Messagers Mignon sélection Thomas Valse poudrée Francis Popy La Gardetde nuit en Chint iL. S'.édel Gazouillement du printemps ISinding Pour une rose, suite de valses ,Wa'.dteurel. 10 h. 45. Limoges • Criari Linckel; Le Cvone lEalnt-Saën» Phi-Phi iChristlnéi La Marcna iChaxlnadei Hans. le joueur de flûte CKinne La Balerine Marie. .1 h 35. Tour Eiffel Cours commerciaux. 11 h. 45 Disques Lolita BuzziPecciat Mai d'amour Buzz'Peccla > Opéra de ctuaf sous We'l'.i a Chant de* cenous». b 1 Ballade 12 h. Lyon Marche italienne Rousseau* Doux sommeil G Marlel Le nouLrau setpneur du village Boleldieu E*pana lAlbeniz Eugène Onépuitte 'Tcnaïkov.'sky En vacances Rhené-Baton Danses norvégiennes Or'eg ̃ Passionnément Messager. '12 h. 50. Relais de Par' Informations du Radio Journal. 13 h. Suite du concert de Lyon. 13 h. 30 Tour Elffe Physionomie de Is Bourse Météo. 13 h 50. Musique enregtstrée. 14 h. 20 Tour Eiffel Cours. 14 h. 30. St-itlsn Radlo-Co'.onlnle Jeux d'enfants Blzetl Esquisses maritimes, harpe et orchstre MTlottei Scherzo iLa'.oi S-'ite pastorale ichabrter La petite chanson des hommes Clerguel. 16 h. 45. Tour Elflel Bourse. 16 h. Llle ̃ Mu?lerbrr>cnt. 22 h 30. Relui* de P* Dernière* Informations Météo. ECOLE SUPÉRIEURE DES P. T. T 4S1 m. 7. 120 kw. 6 h. 50. Météo. 7 h., 7 h. 30, 8 h.. 8 h. 30. Presse.. 8 h. 40. Météo. 8 h. 50. Revues, par Alex Surchamp. + 9 heures. Lecture par Renée Bourgeon. ♦ 10 heures. J'avais un Camarade, de Paul Vialar. 10 to. 45 Limoges. ♦ 11 h. 35. Cours. 11 h. 45. Tourisme.. 12 h. Disques 12 h. 50. Informations, 13 h. Disques ♦ 13 h. 30. Bourse. 13 h. 45. Météo. ♦ 13 h. 50. Mélodies par Mlle Wlthe. 14 h. Espéranto, par Rousseau. 14 h. 20. Ohroniaue astronomique par Hamon. + 14 n. 30 La radio aux aveugles Lea Présents Fauré Berceuse Boellmanni Causerie de M. Maheut Cette mélodie Plniault Chez mol iFéllne L'Hôtel au clair de lune Jacque-Simonot La Longue Route ¡Parés 1 Barcarolle Cho- pin Ronde des lutin; iFr Llazt Cabaret des noctambules Pièces pour piano Mirny, Interprétées par l'auteur Mireille dans ses oeuvres. 16 h. Cauerie a Le raisin et le jus de raisin au Contres de Tunl* ». par Daude-Ban- cel. 16 h. 10. Causerie scientlfioue. r>ar Paul Oetova ̃ c Cru^ticte envahis- Méphiftos » Faust svmnhovie. MêphlsiB»r!loz. ♦ 16 h. 30 Chansons, par Mlle Mnud O'psy. 16 h. 46. Lecture lHt^r1re Extraits de Dai'id Couperfield de Dlcken», rar Mme Rlvain. 17 h Dli"es Œuvres de Théodore Botrel QrèHnds et Goél'ttes. Ln F»nchette Crv'le berceuse. La Pafmvolai* Le Mouchoir ronge nrotfl?es de ©•we» t,!on 18 h. ro'.e Ce qu'a vu le vent d'Ouest iD»bTJf>sv> Le Vent IBol'erï Mon ami Ie vent Delertreï Ar'et'e de Cl"iutine iSrrtub°rt\ Cantique A l'épouse Chausson Je vux Sérénade Strn"»*i. ♦ 18 h 30. Radl ^Tournai de France 19 h. 30. Météo, 19 h. M Disques c Contes s Ma Mdre t'Ot'e Riveli Jolis de fées Marinier Conte bleu et or iRoeirsenCh»m-lonl • 20 h. Le tourisme, par Geor?»s Gévllle. ♦ 20 h. 15. Poli- tique "Ttériei're. pur Jacnues Knyser. 20 h. 23 L*s hommes et les livres. noir PhlUppp Soupault. 20 h. 30 L'Appel du clocher, scène berrichonne ït un acte en vers de Jacques Martel. ♦ 21 h. Minique de chambre par l'Association des Anciens Élèves du Conservatoire Commentaires sur Morart par Rpvnaldo Hahn Sonate en la mnleur Mozart par Benvenutl Mélodies par Arnoult Enlèvement au Sérail AIr de Don Juin Le Ruban égaré, trio Mlle Joncplm. O'rlat et Barbero Variations sur un thème de Mozart iR Hahm. flûte et piano. par Gaston Blsnquart et l'auteur Deux pièces pour violoncelle R. Hahn. par Mas accompairné par l'auteur MM"dles par Louis Amoult Brummel L'Atr, accompagné par l'auteur Oufntette pour piano et cores iHahn. par Bfvenutl et le quatuor Calvet 22 h. 80. Information* des *tt-Unl» d'A-né-ique. ♦ 22 h. 45. R*di"Tournal de Prence Informations météo. TOUR EIFTEL 86 m. 15 kw- 20 h. 30. Par la Comédie-FrançaUe Le Chandelier Musset. POSTE NATIONAL RADIO-PARIS L650 m. 75 kw. 6 h. 45. Gymnastique. ♦ 7 h. Disques ♦ 7 h. 15. Heure Presse. 0 7 h. 45. Gymnastique. 8 h. Disques. 11 h. Musique variée. 12 b. Bretlgnléres. 1. Les prix de revient agricoles ». ♦ 12 h. 15. Heure ̃ Caste-noisette Tchalkowaky Valse des Brunes IL. Ganne Scherzo Moussorgsky Les Maîtres chanteurs Wagner Mélodies par Germaine Geniayre Cantate lOarlsslml; Mon amour fleurit Brahms Le plus doux chemin iPauré Roses en bracelets igaubert Lu Papillons iChau.*son> Rhapsodie Ph. Gaubert Napoü Charpentier. ♦ 12 h. 45 Chronique, par Fernand Divolre. ♦ 14 h. Chronlaue musicale. 14 h. 15. Rossllon L'économie politique dans la littérature ». ♦ 14 h. 30 Poste Colonial. ♦ 16 h Pierre Lièvre Corneille et son oeuvre ». 16 h 15. Philippe Marx La justice a travers les temps et les n»uple » ♦ 16 h. 30. Revue de la Presse humoristique.. 16 h. 40. Muxln"» Mirée. 17 h. Causerie sclenflflmie. par Albert Ranc. 4 17 h. 15. Courrier des llv-es. ♦ 17 h. 30. Dlsriue» ♦ 17 h. 45. Mélodies car Lucie Rauh. ♦ 18 h. Informations pour les Jeunp*. nar Mme Conudo. 18 h. 30. e Histoire du Théâtre lyrlnue en France » par Guy de Pourta'ès P-emi*re de TannhnUser, de Wafner. 19 h. 30. Politique Inté-ieure. 19 h. 40. Fernand Gregh Le Théâtre po'tique Pn Franr» deouls Beaumarchais. • 20 h. RpMtal de nioTio. nar Wtïsb'^1! von M's»n p»*liirt. Sini^'ridP. Oi?ue. Rigaudon K-T.!inn Clair de lune De^iiR'v I p~j'ti*0 Le .rrmnlei/r 'T>n-tk'°wicz>. ♦ 20 *i. 30. Pre* ♦ 90 h. 45 Her»e. Nice. 22 'h. 45 inforviat'oT» Hei"e. ♦ 93 h. Must"'̃• de danse.. 23 h. 30. Musique légère. BC n" » tIX-L AP A VETTE 278 m 6 25 kw. 20 h 15 Informations. 4 20 h. 30. Radlo-Parls. 20 h. 45. Nice. ♦ 22 h. 45. Radio-Paris. RADIO-NORMANDIE Fécamp 269 m. 5 I kw. 7 h. 10. Presse régionale. ♦ 7 h. 30. Journal parlé. ♦ 7 h. 50. Orchestre. 9 h Disques. 10 h. 30. Concert, populaire 11 h Chansonnettes. ♦! 12 h. Musique léKére. ♦ 12 h. 40. Journa. parlé. ♦ 13 h. Heure des auditeurs. 14 h. 30. Variété., 16 h. 45. Émission enfantine.. 17 h. 30 Disques ♦ 19 h. Concert des auditeurs. 4 19 h. 40. Journal parlé. 21 n. Concert. Vieilles, chansons. Danses d'autrefois. 23 h. Musique de danse. POSTE PARISIEN 312 m. 8. 80 kw 20 h 34. La minute policière. 20 h. 40 Simone fait la tournée des grands-ducs ». présentation Louis Merlin. ♦ 21 h. 10. Le portrait en cinq sec. par Georges QucsMau. + 21 h. 12. causerie. 21 h. 25. Marguerite Msreno Pauline Carton. Claude Dauphin, Balder serjius. Vallauris et Jean Nohain comparaîtront c En Correctionnelle ». Diamant-Berger. 4 22 h. Orchestre du Lido. retransmission. ♦ 22 h. 30. Disques. RADIO-TOULOUSE 328 80 tw 19 h 50 Ray Ventura et ses collégiens. Retransmission depuis la Pleyel. ♦ 21 h 46, La demi-heure de Paris ♦ 22 h. 15. Concert sur Trots de la Marine. de Scotto. 22 h. 40. Orchestre de danse. ♦ 22 h. 55. Informations. ♦ 23 h. Extraits de films 23 h. 16. Ordhestre de salon. 23 h. 40. Concert sur Les Gangsters du Château d'If, opérette de Scotto. ♦ 23 h. 55 Informations. 4 0 h. 5. Caveau A la Viennoise ♦ 0 h. 30. Bul'etln météorologique régional. Calen- drier du jour. Pète souhaiter. NATIONAL DroltwlcW m 150 kw. 10 h. 15. Service du Jour. 10 h. 4*. H. Maclean à l'orgue. + \Rrnnèdm total du foi* malad*\ CHATBUUM, 1 But de VatwcJtaa»». PAW BIERES & CHARBONS Ville Ouest. Havas, Angers, no 27813 J COMMERCES a fr. DEDIT Vins Uolsacni, prés gare. 8 kan. du Mans Bascule publique Salle de Bal et Ciné na fr. a débattre. DUPUY. 9 bis, rue du Bourg-d'Anguy. LE_ MANS. A ENLEVER CAUSE INTIME LACOMBE, 48, bd Sébastopol, PARIS. fais. gr. bénéf. vend part moitié 100 000 cpt. Klnguet, 38, r. Rochechouart, Pari». A vendre Maison Produit* de Hrptagne. Recette moy. fr. Pas de Halles. Voir s' place 81. rue Lévls, PARIS 17'. BUVET. avec gde licence, tr. b. placée.' B. log. Bail 9 a. Loy. Trav. forcé. J. f bén. p. an si a6r.. céd. avec Etude de M* LE COUSTUMER, notaire h Fougères. A VENDRE A LAVABLE D ALIMENTATION GENERALE bien t-cué, à Fougères. Pour tous renseignements et traiter, s'adresser au notaire. A7*CÎiC D~EI>lcerë-Buvette-Talac» VCUCn ROYAN, gros chiffre affaire Prix Intéressant. Café gde licence, loyer 600. Bonne aH. Charente-Infér. 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Chants du soir de la Cathédrale Saint-Paul. ♦ 17 h. 45. Musique de danse. 18 h. Nouvelles. 18 h. 20. Causerie c L'Exposition Combe. 19 h. 10. Musique de Fauré, par F. Mannhelmer, pianiste. 19 h. 30. Van Phllipps et ses deux orchestres. • 20 h. 15. Concert symphonique Concerto grosso en sol, pour cordes Concerto pour orgue en et bémol Concerto grosto en fa, nour double orchestre. 21 h. 6. Nouvel 21 h 25. Ode le iow de Sn*nfeCéctle. par John Drvden. 4 22 h. 45. Cabaret 6 23 h. 15. J. Payne et ton orchestre, 33 h. 30. Disques. passer un bon hiver, demandez forces et résistance à la Quintonine. Ce délicieux fortifiant aura vite raison de votre dépression physique et nerveuse. Cette lettre vous en donne la preuve "Mon teint pâle et mon manque d'appétit alarmasent ma famille écrit »le LEGAY, à Niherne Indre. vohe fortifiant a vaincu Je me suss remise à manger de bon aipitit et je me suis sentie plus forte. 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Vous avez la possibilité de rechercher facilement un avis de décès plus ancien et d’affiner votre requête par nom et prénom du défunt ; ville ou code postal. Les avis de décès publiés dans le département d'Orne L’annonce d’un décès passe aussi par la diffusion d’un faire-part de décès. Le site publie la liste des derniers avis de décès et d’obsèques. Vous pouvez ainsi trouver, facilement et gratuitement, l’annonce nécrologique d’une connaissance, d’un ami ou d’un parent décédé dans le département d'Orne. À savoir La publication d’un avis de décès en ligne permet d’informer tous les proches et les connaissances de la disparition d’une personne. Avec le faire-part est accessible depuis tous les supports ordinateur, tablette et Smartphone, sans contrainte de temps ou géographique. Le site vous permet aussi d’accéder à tout un catalogue de services de qualité, depuis chacune des annonces de décès publiée dans le département d'Orne. Rechercher un avis de décès dans le département d'Orne La recherche d’un avis de décès est possible au niveau national, mais aussi par région et par département. Ainsi, afin de trouver une annonce de décès diffusée dans le département d'Orne, plusieurs solutions sont possibles En recherchant le défunt via l’outil dédié en renseignant le nom, éventuellement le prénom du défunt, la ville et/ou le code postal En navigant dans la liste des personnes décédées dans le département d'Orne Registre des avis de décès et d’obsèques, le site recense les derniers avis de décès partagés par les agences de pompes funèbres et les familles en deuil. Retrouvezci-dessous le détail des résultats à Montilly-sur-Noireau. Les résultats du second tour des élections législatives dans la 3e circonscription de l’Orne . Candidat. Commune. Circo Consultez le journal des derniers avis de décès publiés dans la ville de Condé-sur-l'Escaut. Vous avez la possibilité de rechercher facilement un avis de décès plus ancien et d’affiner votre requête par nom et prénom du défunt ; ville ou code postal. Tous les avis de décès de Condé-sur-l'Escaut recense toutes les annonces nécrologiques diffusées en France. À ce titre, le site diffuse gratuitement la liste des derniers avis de décès et d’obsèques partagée par les agences de pompes funèbres et les familles en deuil pour la ville de Condé-sur-l'Escaut. Vous recherchez le faire-part de décès d’une connaissance, d’un ami ou d’un parent décédé ? Renseignez alors les informations personnelles du défunt dans la barre de recherche dédiée ou consultez la liste des personnes décédées dans la ville de Condé-sur-l'Escaut. Pour information c’est aussi une plateforme de services et de partenariats conçus par des professionnels pour l’accompagnement des particuliers. Le site vous permet ainsi d’accéder à tout un catalogue de solutions de qualité, depuis chacune des annonces de décès publiée dans la ville de Condé-sur-l'Escaut. Message de condoléances, bougie de deuil, livraison de fleurs via un fleuriste du réseau Interflora, cagnotte obsèques… vous accompagne dans l’hommage aux défunts. Les faire-part de décès et d’obsèques de la ville de Condé-sur-l'Escaut À l’instar des avis de décès diffusés au niveau national, l’annonce pour une personne décédée dans la ville de Condé-sur-l'Escaut mentionne les informations essentielles Nom et prénom de la personne décédée Date et ville du décès Un faire-part plus détaillé peut également être mis en ligne Modalités liées à la cérémonie d’obsèques type et lieu de la cérémonie funèbre – obsèques civiles ou religieuses ; type et lieu des obsèques – inhumation ou crémation ; demandes spécifiques du défunt ou de la famille – ni fleurs, ni couronnes… Informations sur l’agence de pompes funèbres en charge des obsèques nom et adresse de l’opérateur funéraire Premier registre national des avis de décès et d’obsèques, le site vous facilite toutes les démarches pour rechercher une annonce de décès et pour rendre hommage à un défunt ACondé-sur-Noireau, Infobel répertorie 615 sociétés enregistrées. Le chiffre d'affaires de ces sociétés est estimé à € 277.55 millions et elles emploient un nombre d'employés estimé à 1,912.La société la mieux placée à Condé-sur-Noireau dans notre classement national est en position #1,790 en termes de chiffre d’affaires.Plus d'info à propos de Gauquelin
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